Valérie et Laurent : -4- Le week-end chez Laurent

Quelques semaines après leur nuit dévorante où Valérie avait enfin offert son cul à Laurent, les messages et appels vidéo étaient devenus une routine brûlante. Valérie, désormais accro à cette liberté sexuelle retrouvée, envoyait des photos de ses seins débordant d’un soutien-gorge trop petit ou des vidéos où elle se caressait en pensant à lui. Laurent, de son côté, lui répondait avec des gros plans de sa bite dure, des messages crus qui la faisaient mouiller instantanément.

Un vendredi soir, il lui envoya :
« Ce week-end, tu viens chez moi. Pas de culotte sous ta robe, je veux te baiser partout dans l’appart. »
Valérie, le cœur battant, répondit simplement : « J’arrive demain matin. Prépare-toi à ne pas dormir. »

Le samedi, Valérie sonna à la porte de l’appartement de Laurent, un loft moderne avec vue sur la Seine. Elle portait une robe courte noire, moulante, sans soutien-gorge ni culotte comme demandé, ses gros seins libres sous le tissu, ses tétons visibles à travers la matière fine. Laurent ouvrit, torse nu dans un jean gris, son regard la dévorant. «  Valérie… » murmura-t-il avant de l’attirer à l’intérieur et de refermer la porte d’un coup de pied.

Ils ne perdirent pas une seconde. Laurent la plaqua contre la porte de l’entrée, relevant sa robe d’un geste impatient pour découvrir son sexe déjà trempé. « Tu es venue sans rien dessous, exactement comme je te l’avais demandé », souffla-t-il, ses yeux brillant d’une excitation brute. Valérie gémit, ses mains déjà sur la bosse dure de son jean, mais Laurent, un sourire carnassier aux lèvres, murmura : « Laisse-moi te rendre la pareille. »

Il s’agenouilla devant elle, ses mains puissantes écartant doucement ses cuisses. Valérie, le cœur battant, posa une jambe sur son épaule, s’ouvrant complètement à lui. Laurent plongea aussitôt, sa bouche trouvant son clitoris gonflé, sa langue chaude et insistante léchant avec une avidité qui la fit crier dès les premières secondes. Il alternait entre succions fermes et coups de langue rapides, sa bouche couvrant tout son sexe, buvant ses jus qui coulaient déjà abondamment. Valérie, les mains contre la porte pour se retenir, haletait : « Oui… comme ça… ne t’arrête pas… »

Au bout d’un moment, Laurent la fit pivoter d’un geste fluide, ses mains attrapant ses hanches rondes. Il embrassa ses fesses charnues, mordillant la peau douce, puis écarta ses fesses pour exposer son anus. Sa langue remonta lentement le long de sa raie avant de se poser sur l’entrée plissée, léchant avec une lenteur torturante, puis plus profondément, sa langue entrant et sortant, explorant chaque pli. Valérie devint folle : ses jambes tremblaient, son sexe ruisselait littéralement, des gouttes d’humidité coulant le long de l’intérieur de ses cuisses, laissant des traces brillantes sur sa peau. « Laurent… je vais exploser… » gémit-elle, son corps secoué de spasmes.

Il la guida jusqu’au salon, la posant sur le large canapé en cuir noir. Valérie, encore tremblante, s’allongea sur le dos, ses jambes écartées, son sexe luisant et ouvert l’invitant. Laurent, son sexe dur tendant son jean, s’agenouilla entre ses cuisses admirant son sexe rasé et luisant, puis plongea sa langue dedans, léchant son clitoris avec une lenteur torturante avant de sucer ses lèvres intimes. Valérie hurla, ses mains agrippant ses cheveux, ses gros seins se soulevant à chaque respiration. Il redescendit lécher son anus, sa langue traçant des cercles, puis glissa un doigt dedans tout en continuant de dévorer son sexe. Valérie, folle de plaisir, perdait la tête, elle sentait la salivé et son humidité couler entre ses fesses et ses cuisses.

Laurent, son sexe palpitant, enfila un préservatif avec des gestes lents, presque cérémonieux, ses yeux rivés sur le corps voluptueux de Valérie. Il la pénétra d’un seul mouvement fluide, mais sans brutalité, savourant la sensation de son sexe chaud, trempé et incroyablement serré qui l’enveloppait comme un étau de velours humide. Valérie gémit profondément, ses mains agrippant ses épaules, ses gros seins se soulevant à chaque respiration saccadée.

Il resta un instant immobile en elle, laissant leurs corps s’habituer l’un à l’autre, puis commença à bouger doucement, des va-et-vient lents et profonds qui faisaient claquer leurs peaux l’une contre l’autre avec une lenteur presque torturante. Chaque fois qu’il se retirait presque entièrement, il sentait le vide brûlant de son sexe qui semblait le supplier de revenir, et il replongeait d’un coup sec, plus profond, arrachant à Valérie un cri rauque de plaisir. « Tu me sens bien ? » murmura-t-il, sa voix grave vibrant contre son oreille. Valérie, les yeux mi-clos, haleta : « Oui… tellement bien… continue comme ça… »

Laurent jouait avec elle, alternant les rythmes : des mouvements lents, presque tendres, où il savourait chaque millimètre de son sexe chaud et trempé autour de lui, puis des poussées plus franches, plus profondes, qui la faisaient trembler. Il se retira complètement à plusieurs reprises, frottant son gland gonflé contre son clitoris hypersensible, le faisant glisser sur ses lèvres intimes gonflées, la taquinant jusqu’à ce qu’elle supplie : « Rentre, je t’en prie… » Il obéissait alors, la pénétrant d’un coup net, la remplissant entièrement, la sensation de son sexe serré et ruisselant le rendant fou.

Il la retourna ensuite et la prit  en levrette. Ses mains caressaient ses fesses rondes, les écartant doucement pour admirer son sexe ouvert et luisant. Il entra à nouveau lentement, savourant chaque centimètre, ses mouvements lents et profonds, son bassin roulant contre elle. De temps en temps, il se retirait presque entièrement pour frotter son sexe contre son clitoris, le faisant glisser sur ses lèvres trempées avant de replonger d’un coup sec, la faisant crier à chaque fois. Valérie, submergée, tremblait de tout son corps, ses gros seins écrasés contre les coussins, ses gémissements devenant des plaintes de plaisir pur.

Laurent glissa un doigt lubrifié sur son anus, le massant doucement en cercles, sans entrer, juste assez pour amplifier la sensation de plénitude. Valérie, au bord de l’explosion, haletait : « Je vais jouir… ne t’arrête pas… » Il continua ses mouvements lents et profonds, frottant son clitoris avec son pouce à chaque poussée, jusqu’à ce qu’elle jouisse violemment, son sexe se contractant autour de lui, ses cris résonnant dans la pièce. Laurent, sentant son orgasme, se retira lentement, prolongeant son plaisir, son sexe luisant de ses jus, prêt à reprendre dès qu’elle le supplierait à nouveau.
Mais Valérie n’en avait pas assez, toujours à 4 pattes, elle se retourna, lui attrapa le cou, l’embrassa, et lui murmura à l’oreille.

« Je veux jouir encore, je veux que tu me prennes le cul, que tu jouisses en moi » dit-elle. 

Il lubrifia généreusement son sexe et l’anus de Valérie. Valérie se positionna, les fesses relevées, un coussin entre les bras, en se mordant les lèvres de désir. Laurent était très excité de la vue, il prit son sexe en main, entra dans son anus lentement, l’étroitesse le faisant grogner.
Le cul de Valérie s’ouvrit facilement devant son gland , qui entra sans effort. Par petits va et vient, il entra doucement de plus en plus profondément.
Il la sodomisa avec des va-et-vient profonds, sentant son cul s’ouvrir de plus en plus.


Valérie, submergée, se caressait le clitoris avec une frénésie désespérée, ses doigts glissant sur sa chair gonflée et trempée, chaque cercle envoyant des éclairs de plaisir à travers son corps. Ses gros seins rebondissaient à chaque poussée de Laurent, la sensation de son sexe épais la remplissant complètement la rendant folle. « Ne t’arrête pas, putain, continue », haleta-t-elle, sa voix brisée par le plaisir, ses hanches poussant en arrière pour rencontrer chaque coup de reins.

Laurent, excité par sa voracité, ralentit un instant, laissant son sexe presque sortir avant de replonger d’un coup brutal, la faisant hurler. Il attrapa ses cheveux, tirant sa tête en arrière pour l’embrasser dans le cou, mordillant sa peau tandis que ses coups reprenaient, plus profonds, plus rapides. Valérie, les larmes de plaisir aux yeux, sentit un orgasme monter, plus intense que les précédents. « Je vais jouir… oh putain, je jouis ! » cria-t-elle, son corps convulsant violemment, son vagin pulsant autour de lui, ses jus coulant abondamment sur ses cuisses.

Laurent, au bord de l’explosion, lui dit « Je vais jouir, c’est trop bon ! »

« Tu veux jouir dans mon cul ou sur moi » , demanda Valérie entre 2 va et vient.

« Sur tes seins », haleta Laurent.
« Oh oui vas-y » dit Valérie.
Laurent se retira, arrachant le préservatif d’un geste rapide. Valérie, encore tremblante, se tourna immédiatement, s’agenouillant devant lui, ses mains pressant ses gros seins l’un contre l’autre pour lui offrir une cible parfaite. « Donne-moi tout », supplia-t-elle, sa voix rauque. Laurent, la bite palpitante, se branla furieusement au-dessus d’elle, et jouit avec un grognement primal, des jets chauds et abondants éclaboussant ses seins, coulant en ruisseaux visqueux sur ses tétons, son décolleté, jusqu’à son ventre.
Valérie, excitée par la jouissance de Laurent, l’attrape par les hanches pour lui faire glisser son sexe entre ses seins couverts de sperme. Elle approcha sa bouche pour lécher son gland qui dépassait entre ses seins. Elle aspira et lécha chacune des gouttes de sperme du sexe de Laurent qui tremblait tellement la sensation était forte.
Laurent s’écroula tandis que Valérie massait le sperme sur sa peau, ses doigts glissant sur ses seins, puis porta ses mains à sa bouche pour lécher avidement, savourant le goût salé de Laurent avec un sourire provocateur.

Ils s’effondrèrent enfin, leurs corps luisants de sueur, enlacés dans les draps défaits. Valérie caressa son visage, un sourire comblé aux lèvres. « Tu me rends accro », murmura-t-elle. Laurent rit, l’embrassant sur le front. Cette nuit, plus intense que toutes les précédentes, avait scellé leur passion, prête à brûler encore et encore.