Le feu sans limites
Depuis qu’ils avaient franchi le pas du « sans capote », Valérie et Laurent ne se retenaient plus. Le simple fait de sentir le sperme chaud de Laurent la remplir jusqu’au fond était devenu une obsession pour elle. Chaque fois qu’il jouissait en elle, elle tremblait encore longtemps après, son vagin pulsant autour de lui comme s’il voulait garder chaque goutte. Leur confiance était totale, leur désir insatiable.
Un vendredi soir, Laurent invita Valérie chez lui pour un week-end entier. Il avait tout préparé : des bougies, du vin, et surtout, le nouveau coffret de jouets qu’elle avait commandé et qui était arrivé la veille. Quand elle franchit la porte, vêtue d’une robe courte rouge sang qui moulait ses formes généreuses, ses gros seins débordant du décolleté, il la plaqua immédiatement contre le mur, l’embrassant avec une faim vorace.
« Tu sais ce que je veux ce soir ? » murmura-t-elle entre deux baisers, sa voix rauque.
« Non, dis moi ? » répondit-il, déjà dur contre elle.
« Cette fois, je veux que tu me remplisses partout. Et que tu me regardes couler. »
Ils ne perdirent pas une seconde. Laurent la guida jusqu’à la chambre, la jeta sur le lit et arracha sa robe. Valérie, nue, les cuisses écartées, attrapa le flacon de lubrifiant et un plug anal en métal froid. « Mets-le-moi », ordonna-t-elle, les yeux brillants. Laurent, obéissant, lubrifia le plug et l’inséra lentement dans son anus, la faisant gémir à chaque centimètre. Une fois en place, il se pencha pour lécher son sexe rasé et trempé, sa langue plongeant entre ses lèvres, suçant son clitoris avec une avidité qui la fit hurler.
Valérie, impatiente, le repoussa et grimpa sur lui à califourchon. Elle guida son sexe nu dans son vagin, s’empalant d’un coup, le plug augmentant la pression à chaque mouvement. Elle le chevaucha avec une vigueur animale, ses gros seins rebondissant devant ses yeux, ses hanches claquant contre les siennes. Laurent attrapa ses seins, les malaxant, pinçant ses tétons, tandis qu’elle accélérait, son sexe pulsant autour de lui.
« Je veux te sentir jouir en moi », grogna-t-elle, ses mouvements devenant frénétiques. Laurent, au bord de l’explosion, la fit basculer sur le dos, ses jambes sur ses épaules, et la pilonna profondément, le plug frottant contre lui à travers la fine paroi. Valérie cria, ses ongles griffant son dos : « Oui, remplis-moi, donne-moi tout ! » Laurent jouit avec un rugissement, son sperme chaud et abondant la remplissant, pulsant contre ses parois, prolongeant son propre orgasme. Elle convulsa, ses jus se mélangeant à son sperme, coulant le long de ses cuisses.
Mais elle n’en avait pas fini. Elle se releva, encore tremblante, et retira lentement le plug, son anus béant et luisant. « Regarde », murmura-t-elle en écartant ses fesses, laissant le sperme de leur première étreinte couler de son vagin, mélangé à ses jus, dégoulinant sur son anus ouvert.
Le filet blanc, épais et chaud, traçait une ligne indécente le long de sa raie, perlant sur sa peau hâlée avant de goutter sur les draps déjà trempés. Valérie resta ainsi un long moment, à quatre pattes, le dos cambré, offrant à Laurent la vue la plus obscène qu’il ait jamais eue : son sexe béant, encore palpitant, et son anus dilaté par le plug, luisant de lubrifiant et maintenant orné de sa semence.
Laurent, le souffle court, ne pouvait détacher ses yeux de ce spectacle. Sa bite, encore à moitié dure, se raidit de nouveau en quelques secondes, comme si son corps refusait de croire qu’il venait de jouir. Il s’approcha à genoux derrière elle, ses mains tremblantes posées sur ses hanches, effleurant la peau brûlante de ses fesses. « Qu’est ce que tu m’excites », grogna-t-il, sa voix rauque, presque révérencieuse.
Valérie tourna la tête, ses cheveux collés par la sueur sur son front, un sourire carnassier aux lèvres. « Tu aimes ce que tu vois ? » demanda-t-elle en resserrant volontairement son anus, faisant perler une nouvelle goutte de sperme. « Tu veux me remplir encore ? Parce que moi, j’en veux encore. »
Elle se redressa lentement, se tournant vers lui, son corps luisant de sueur et de leurs fluides mélangés. Ses gros seins pendaient lourdement, les tétons encore durs, et elle les prit à deux mains, les pressant l’une contre l’autre, jouant avec comme pour le narguer. Laurent, hypnotisé, s’approcha, sa bite de nouveau raide comme au premier jour. Valérie s’allongea sur le dos, écartant largement les cuisses, son sexe et son anus encore ouverts, luisants, offerts.
« Viens », souffla-t-elle, sa voix plus basse, plus autoritaire. « Cette fois, tu vas me prendre lentement. Je veux te sentir chaque seconde. »
Laurent s’agenouilla entre ses jambes, son sexe dur frottant d’abord contre ses lèvres intimes, puis contre son anus encore dilaté. Il entra dans son vagin d’un mouvement lent, presque douloureux de plaisir, savourant chaque millimètre, chaque contraction de ses parois autour de lui. Valérie gémit longuement, ses mains agrippant ses propres cuisses pour les maintenir ouvertes, ses yeux rivés aux siens.
Il bougea lentement, très lentement, des va-et-vient profonds et réguliers, chaque retrait laissant son sexe luisant de leurs jus mélangés, chaque rentrée la faisant frissonner. Il se pencha pour embrasser ses seins, suçant un téton, puis l’autre, tandis que ses hanches continuaient leur rythme hypnotique. Valérie, submergée par la sensation, glissa une main entre eux, caressant son clitoris en cercles lents, ses gémissements devenant plus profonds, plus animaux.
Après plusieurs minutes de cette lente torture, Laurent accéléra légèrement, ses coups devenant plus profonds, plus possessifs. Valérie, au bord de l’explosion, murmura : « Je veux te sentir jouir encore… remplis-moi… »
Laurent, sentant son propre orgasme monter comme une vague impossible à retenir, se retira lentement, son sexe palpitant, luisant des jus de Valérie, encore dur et gonflé de désir.
Valérie, haletante, se mit immédiatement à quatre pattes sur le lit, son corps encore tremblant du plaisir précédent. Elle tourna la tête vers lui, ses yeux brillants d’une faim insatiable, et écarta ses fesses rondes et généreuses avec ses deux mains, offrant son anus dilaté, rose et luisant. « Prends-moi là », ordonna-t-elle d’une voix rauque, presque un grognement. « Je veux te sentir dans mon cul, maintenant. »
Laurent, hypnotisé par la vue, s’agenouilla derrière elle, son sexe dur pressant contre l’entrée déjà ouverte. Il entra d’un coup lent mais ferme, la sensation de son anus serré et chaud autour de lui le faisant grogner de plaisir brut. Valérie hurla, son dos se cambrant violemment, ses gros seins se balançant sous elle à chaque mouvement. « Plus fort », supplia-t-elle, sa voix brisée par l’excitation. « Baise-moi tire-moi les cheveux »
Laurent obéit. Il attrapa une poignée de ses cheveux blonds, tirant sa tête en arrière avec une force possessive, et accéléra ses coups de reins, la pilonnant profondément dans le cul, chaque poussée faisant claquer ses couilles contre ses fesses. Valérie criait à chaque impact, ses gémissements devenant des hurlements, son corps se secouant sous l’assaut. « Oui, comme ça, plus fort, putain, défonce-moi ! »
Il la baisait avec une vigueur animale, son sexe entrant et sortant de son anus dilaté, la sensation de son trou serré autour de lui le rendant fou. Valérie, submergée, glissa une main entre ses cuisses, caressant son clitoris trempé avec une frénésie désespérée, ses doigts glissant sur sa chair gonflée.
Laurent sentit son orgasme arriver, violent, inévitable. « Je vais jouir », grogna-t-il, sa voix rauque. Valérie, dans un sursaut de désir, le repoussa brusquement, , écartant ses fesses au maximum avec ses deux mains. « Sur mon cul ! Jouis sur mon cul, je veux tout sentir ! » cria-t-elle, son anus béant et palpitant offert à lui.
Laurent, à bout, se branla furieusement au-dessus d’elle, et jouit avec un rugissement primal. Des jets chauds, puissants et abondants, éclaboussèrent son anus ouvert, coulant à l’intérieur, dégoulinant le long de sa raie, sur ses fesses, et continuant jusqu’à son vagin encore trempé. Le sperme coulait partout, chaud, visqueux, marquant sa peau comme une revendication.
Valérie, excitée au-delà des mots par la sensation du sperme de Laurent coulant dans son anus et sur son sexe, se caressa le clitoris avec une violence désespérée, ses doigts glissant dans le mélange de leurs jus. Elle jouit violemment, son corps convulsant, ses cris résonnant dans la pièce, son anus et son vagin pulsant à l’unisson, le sperme continuant de couler lentement, la recouvrant complètement.
Elle s’effondra sur le ventre, encore tremblante, le sperme de Laurent dégoulinant de son cul ouvert, formant une flaque sur les draps. Laurent, à bout de souffle, s’allongea à côté d’elle, caressant doucement son dos. Valérie tourna la tête, un sourire comblé aux lèvres, il l’embrassa tendrement.
Cette nuit-là, ils s’endormirent enlacés, leurs corps encore marqués de leur passion, sachant que demain apporterait de nouveaux jeux, de nouveaux plaisirs, et encore plus de feu.

