Valérie et Laurent : -8- Sous la douche à Barcelone – Ejaculation pour Valérie

Trois mois après leur première nuit sans préservatif, Valérie et Laurent ne se quittaient presque plus. Un week-end prolongé à Barcelone s’imposait. Ils avaient réservé une chambre dans un petit hôtel boutique du quartier gothique, avec une salle de bain immense et une douche à l’italienne assez grande pour deux.

À peine la porte de la chambre refermée, Valérie posa son sac, se tourna vers Laurent et, avec un sourire brûlant, commença à déboutonner sa robe d’été. Elle la laissa tomber à ses pieds, révélant son corps nu, voluptueux, sans culotte ni soutien-gorge. Laurent, déjà dur rien qu’à la vue de ses formes généreuses, s’approcha, l’embrassa avec une faim vorace, ses mains glissant sur ses hanches rondes.

« J’ai trop chaud », murmura Valérie contre sa bouche, « on va se rafraîchir ? »

Elle le prit par la main et l’entraîna vers la salle de bain. L’eau de la douche à l’italienne coula aussitôt, chaude et puissante. Valérie entra la première, laissant l’eau ruisseler sur sa peau, ses cheveux se collant à son dos, ses seins lourds luisant sous les gouttes. Laurent se déshabilla en vitesse et la rejoignit, son sexe déjà raide pointant vers elle.

Ils s’embrassèrent sous le jet, leurs langues se mêlant, l’eau cascadant entre leurs corps pressés. Valérie attrapa le gel douche, en versa une généreuse quantité sur ses mains et commença à savonner Laurent, ses paumes glissant sur son torse, descendant lentement vers son sexe. Elle le branla doucement, le savon rendant ses mouvements fluides et glissants, le faisant gémir contre sa bouche.

Laurent, à son tour, prit le gel et savonna Valérie, ses mains explorant ses seins, son ventre rond, ses hanches, puis descendant entre ses cuisses. Il glissa deux doigts dans son sexe déjà trempé – l’eau et son excitation se mélangeant – et la doigta lentement, son pouce frottant son clitoris. Valérie gémit, ses mains agrippant ses épaules pour ne pas glisser.

« Je te veux maintenant », souffla-t-elle.

Elle se tourna, posant ses mains contre le mur carrelé, cambrant le dos pour offrir ses fesses rondes à Laurent. Il se positionna derrière elle, son sexe dur frottant contre sa raie, puis entra en elle d’un coup lent et profond. L’eau ruisselait sur leurs corps, rendant chaque mouvement plus fluide, plus intense. Laurent la prit avec une régularité hypnotique, ses mains sur ses hanches, ses coups de reins profonds faisant claquer sa peau contre la sienne malgré l’eau.

Valérie, submergée, se caressait le clitoris tout en le sentant la remplir, ses gémissements résonnant dans la douche.

Laurent accéléra, ses mains remontant pour saisir ses seins, les pressant avec une force possessive, ses doigts s’enfonçant dans la chair douce et lourde tandis qu’il la pilonnait plus fort. L’eau ruisselait sur leurs corps, rendant chaque mouvement plus glissant, plus intense, ses coups de reins claquant contre ses fesses avec un bruit humide qui se mêlait au grondement de la douche. Valérie, submergée, haletait bruyamment, son corps entier vibrant à chaque poussée, son sexe pulsant autour de lui comme s’il voulait le retenir pour toujours.

« Je vais jouir en toi », grogna-t-il, sa voix rauque, presque animale, ses hanches claquant encore plus fort, son sexe cognant profondément en elle, atteignant des zones qui la faisaient trembler de la tête aux pieds.

Mais Valérie avait une autre idée. Elle voulait le sentir exploser dans sa bouche, avaler chaque goutte, le goûter pleinement. D’un mouvement rapide, elle se retira, se tournant face à lui sous le jet d’eau chaude. « Non… dans ma bouche », souffla-t-elle, ses yeux brillant d’une lueur vorace, sa voix tremblante d’excitation. Elle s’agenouilla aussitôt sur le carrelage mouillé, l’eau cascadant sur son visage, ses cheveux collés à sa peau, ses lèvres déjà ouvertes en attente.

Laurent, surpris mais excité au-delà des mots, attrapa sa bite luisante de leurs jus mélangés et la guida vers sa bouche. Valérie l’avala d’un seul mouvement, profondément, sa gorge s’ouvrant pour l’accueillir entièrement, ses lèvres serrées autour de la base. Elle suça avec une avidité dévorante, sa langue dansant sur la hampe, ses mains agrippant ses cuisses pour le maintenir en place. L’eau ruisselait sur eux, rendant tout plus glissant, plus intense.

Elle alterna entre succions profondes et rapides, sa gorge se contractant autour de lui à chaque descente, ses gémissements vibrants contre son sexe. Laurent, les mains dans ses cheveux trempés, grogna plus fort, ses hanches poussant instinctivement pour baiser sa bouche. Valérie, excitée par son propre contrôle, accéléra, sa langue tournoyant autour du gland à chaque retrait, puis le reprenant jusqu’au fond, ses yeux levés vers lui, larmoyants sous l’eau et le plaisir.

« Putain, Valérie… je jouis… » haleta-t-il, son corps se tendant comme un arc. Elle resserra ses lèvres, sa main branlant la base de son sexe en rythme avec sa bouche, et Laurent explosa violemment. Des jets chauds, puissants et abondants inondèrent sa gorge, coulant sur sa langue, remplissant sa bouche. Valérie avala avidement, gémissant autour de lui, sa langue lapant chaque goutte, prolongeant son orgasme jusqu’à ce qu’il tremble, à bout de souffle.

Elle se releva lentement, l’eau rinçant son visage, un sourire satisfait aux lèvres, le goût de son sperme encore sur sa langue. Elle l’embrassa passionnément, lui faisant goûter ce qu’il venait de lui donner, leurs langues se mêlant sous le jet chaud. Laurent, encore frémissant, la serra contre lui. « Tu me rends dingue », murmura-t-il.

Laurent attrapa la main de Valérie et l’entraîna hors de la douche, leurs corps dégoulinants laissant une traînée d’eau sur le carrelage. Il saisit une grande serviette éponge blanche, l’étala rapidement sur le lit pour ne pas tremper les draps, puis la poussa doucement dessus. Valérie s’allongea sur le dos, les jambes écartées, son sexe encore gonflé et luisant d’eau et de désir. Laurent s’installa entre ses cuisses, ses mains écartant doucement ses lèvres intimes, et plongea sa langue dedans.

Il la lécha lentement d’abord, sa langue plate remontant de son entrée jusqu’à son clitoris, puis plus vite, plus profondément, sa bouche couvrant tout son sexe. Valérie gémit, ses mains agrippant ses cheveux mouillés. Il glissa deux doigts en elle, les faisant aller et venir avec précision, courbés pour toucher ses parois sensibles. Elle haletait, ses hanches se soulevant pour aller à la rencontre de sa bouche et de ses doigts.

Au bout d’un moment, elle prit son bras et porta les doigts de Laurent, luisants de ses jus, et les porta à sa bouche. Elle les suça avidement, sa langue tournoyant autour, goûtant son propre goût avec un gémissement rauque. Laurent, excité par ce spectacle, replongea entre ses cuisses, sa langue plus insistante, plus vorace, léchant son clitoris en cercles rapides tandis que ses doigts revenaient en elle, plus profondément, plus vite. Valérie tremblait, ses cuisses se refermant autour de sa tête.

Son sexe recommençait à durcir, dressé contre le matelas. Valérie, sentant cela, murmura d’une voix brisée : « Viens… un 69. » Laurent remonta sur le lit, s’allongeant sur le dos. Valérie grimpa sur lui, ses genoux de part et d’autre de sa tête, son sexe juste au-dessus de sa bouche. Elle se pencha en avant, prenant son sexe dur dans sa main, puis dans sa bouche, le suçant profondément pendant que Laurent, par-dessous, léchait son sexe avec une avidité redoublée.

Valérie perdait la tête. La langue de Laurent explorait chaque recoin, suçait son clitoris, plongeait dans son vagin, et elle n’arrivait plus à se concentrer sur sa fellation. Elle suçait par à-coups, gémissait autour de sa bite, bavant abondamment, ses hanches roulant contre sa bouche. 

Valérie, au bord de l’explosion, se redressa légèrement, quasi assise sur sa tête, ses mains agrippant la tête de lit. Laurent, sentant son plaisir monter, remonta sa langue vers son anus, le léchant avec une lenteur provocante, puis plus profondément, sa langue entrant et sortant dans son cul.
Le sexe de Valérie coulait directement dans la bouche de Laurent, dégoulinant sur son menton, son cou, son torse. Elle branlait son sexe avec une main, l’autre tenant sa tête contre elle. « Je vais… je vais… » haleta-t-elle, incapable de finir sa phrase.

Elle le ressaisit en bouche, suçant si fort que Laurent grogna contre son cul. Et soudain, pour la première fois, Valérie éjacula. De longs jets puissants jaillirent de son sexe, inondant la bouche ouverte de Laurent, éclaboussant son visage, son torse, coulant en cascade sur son corps. Elle hurla, son corps convulsant violemment, ses cuisses tremblant autour de sa tête, ses doigts enfoncés dans ses cheveux.

Laurent, submergé par cette vague brûlante, continuait de la lécher, son propre sexe palpitant dans la main de Valérie.  

N’ayant plus la force de le sucer après son orgasme dévastateur, Valérie le branlait avec une main tremblante, ses doigts glissant sur sa hampe raide et luisante. Elle gardait le gland de Laurent calé juste au bord de sa bouche ouverte, sa langue sortant de temps en temps pour effleurer la pointe, goûtant le précum qui perlait déjà, ses lèvres entrouvertes frôlant la peau sensible à chaque mouvement de sa main. Ses gémissements rauques, encore secouée par les répliques de son éjaculation, vibraient contre lui, envoyant des frissons dans tout son corps.

Elle gardait le gland de Laurent calé juste au bord de sa bouche ouverte, sa langue sortant de temps en temps pour effleurer la pointe, goûtant le précum qui perlait déjà, ses lèvres entrouvertes frôlant la peau sensible à chaque mouvement de sa main. Laurent, le corps tendu comme un arc, sentait chaque caresse de sa langue comme une décharge électrique. Ses hanches poussaient instinctivement, son sexe palpitant entre ses doigts, la sensation de sa bouche si proche mais pas assez profonde le rendant fou.

Valérie, encore tremblante de son propre orgasme, accéléra légèrement sa main, ses doigts serrant juste assez pour le faire gémir plus fort. Elle sentait sa bite gonfler, devenir plus dure, plus chaude. « Vas-y… donne-moi tout », murmura-t-elle d’une voix rauque, à peine audible entre deux souffles, sa langue léchant une nouvelle goutte de précum.

Laurent n’en pouvait plus, excité par le sexe de Valérie toujours au dessus de son visage.
Un grognement guttural s’échappa de sa gorge, ses abdominaux se contractèrent violemment, et il jouit avec une force brutale. Le premier jet, puissant et épais, jaillit directement sur la langue de Valérie, éclaboussant son visage et son menton. Elle ne bougea pas, gardant son gland contre ses lèvres, laissant les jets suivants couler sur sa langue, sur sa bouche, dégoulinant sur son menton . Ses doigts continuaient de le branler doucement, prolongeant son orgasme, chaque contraction envoyant une nouvelle giclée chaude qu’elle recevait avec un gémissement satisfait.

Quand les derniers spasmes s’estompèrent, Valérie laissa échapper un petit rire essoufflé, sa langue passant lentement sur ses lèvres pour récupérer ce qui avait coulé. Elle avala ce qui restait dans sa bouche, puis se pencha pour lécher doucement le gland encore sensible, arrachant un dernier frisson à Laurent.

Il s’effondra à côté d’elle, à bout de souffle, le corps encore secoué de tremblements. Valérie remonta contre lui, son visage luisant, et l’embrassa profondément, lui faisant goûter son propre sperme sur sa langue. Ils restèrent ainsi, enlacés, trempés, épuisés, leurs corps collés dans la chaleur de la chambre, le silence seulement troublé par leurs respirations haletantes.

Cette nuit-là, ils s’endormirent sans même penser à se laver, leurs corps encore marqués l’un de l’autre, sachant que le lendemain apporterait de nouvelles envies, de nouveaux jeux, et encore plus de feu.