Valérie et Laurent : -9- La soirée masquée

Quelques semaines après Barcelone, Valérie et Laurent avaient décidé de pousser leurs limites encore plus loin. Valérie, toujours plus audacieuse, avait trouvé une invitation pour une soirée masquée privée, un événement libertin chic dans une villa en banlieue parisienne. Le thème : « Masques et Désirs ». Anonymat garanti, tenues élégantes et provocantes, et surtout, aucune retenue.

Valérie choisit un masque vénitien noir orné de plumes, une robe dos nu en satin rouge qui moulait ses formes généreuses, fendue jusqu’en haut de la cuisse, sans rien dessous. Laurent, en smoking noir et masque argenté, ne pouvait détacher ses yeux d’elle dans la voiture. « Si tu continues à me regarder comme ça, on n’arrivera jamais », murmura-t-elle en posant une main sur sa braguette déjà tendue.

À la villa, l’ambiance était électrique : musique sensuelle, lumières tamisées, corps masqués qui se frôlaient dans l’ombre. Valérie et Laurent commencèrent par danser, collés serrés, ses seins pressés contre son torse, ses hanches roulant contre les siennes. Elle sentait sa bite durcir à chaque mouvement, et elle sourit sous son masque, savourant son pouvoir.

Ils s’isolèrent dans une pièce aux rideaux lourds, où d’autres couples s’embrassaient déjà dans la pénombre. Valérie plaqua Laurent contre le mur, relevant sa robe juste assez pour lui montrer qu’elle ne portait rien dessous. « Touche-moi », souffla-t-elle. Il glissa sa main entre ses cuisses, trouvant son sexe déjà trempé, et enfonça deux doigts en elle sans préambule. Valérie gémit, mordant sa lèvre pour ne pas crier trop fort.

Elle le fit pivoter, le poussant sur un large fauteuil en velours. Elle releva sa robe, grimpa sur lui à califourchon, et guida son sexe nu en elle d’un mouvement fluide. Ils baisèrent ainsi, masqués, dans la semi-obscurité, ses hanches claquant contre les siennes, ses gémissements étouffés par le masque.

Laurent attrapa ses fesses à pleines mains, ses doigts s’enfonçant dans la chair généreuse, les écartant largement pour la pénétrer plus profondément, chaque coup de reins plus possessif que le précédent. Ses pouces effleuraient son anus encore sensible de leurs jeux précédents, traçant des cercles légers autour du pli plissé, la faisant frissonner violemment malgré la chaleur de la pièce. Valérie, le masque vénitien masquant la moitié de son visage, mordit sa lèvre pour étouffer un cri, mais ses gémissements rauques trahissaient tout : elle était au bord de l’explosion.

Elle se cambra encore plus, ses hanches roulant contre lui avec une urgence désespérée, son vagin serrant sa bite comme s’il voulait le garder prisonnier. « Touche-moi là », souffla-t-elle d’une voix brisée, presque un ordre. Laurent, comprenant immédiatement, glissa un doigt lubrifié – trempé de ses propres jus – contre son anus, le massant doucement avant de l’enfoncer lentement, centimètre par centimètre, pendant qu’il continuait à la baiser profondément. Valérie hurla dans son masque, son corps se contractant autour de lui et de son doigt, la double sensation la rendant folle.

« Encore », gémit-elle, ses mains agrippant les accoudoirs du fauteuil, ses ongles s’enfonçant dans le velours. Laurent obéit, ajoutant un second doigt, les faisant aller et venir en rythme avec ses coups de reins, dilatant son anus tout en la remplissant de sa bite. Chaque mouvement faisait claquer ses fesses contre son bassin, le bruit humide et obscène se mêlant aux gémissements étouffés des autres couples autour d’eux. L’anonymat des masques, le risque d’être vus, la musique sensuelle en fond : tout amplifiait leur plaisir.

Valérie, submergée, sentit l’orgasme monter comme une vague dévastatrice. « Je vais jouir… oh putain… » haleta-t-elle, son corps tremblant, ses cuisses serrant les hanches de Laurent. Il accéléra, ses doigts dans son cul, sa bite la pilonnant sans relâche, jusqu’à ce qu’elle explose, son vagin pulsant violemment autour de lui, ses cris étouffés par le masque, ses jus coulant abondamment sur ses cuisses et sur le fauteuil.

Laurent, au bord de l’explosion lui aussi, se retira lentement, son sexe luisant et palpitant. Valérie, encore tremblante, se tourna immédiatement, s’agenouillant devant lui sur le tapis moelleux. Elle prit sa bite en bouche avec une avidité animale, suçant profondément, sa langue dansant sur la hampe, goûtant leurs jus mélangés. Laurent, les mains dans ses cheveux, grogna : « Je vais jouir… » Valérie, les yeux brillants derrière son masque, suça plus fort, sa gorge s’ouvrant pour l’accueillir entièrement.

Il jouit violemment, des jets chauds et abondants inondant sa bouche, coulant sur sa langue. Valérie avala chaque goutte, sa langue lapant le gland sensible pour prolonger son plaisir, jusqu’à ce qu’il s’effondre contre le fauteuil, à bout de souffle.

Ils restèrent ainsi un moment, haletants, leurs masques encore en place, leurs corps luisants de sueur. Valérie se releva lentement, ajusta sa robe, et murmura à son oreille : « On continue ailleurs ? »

Il hocha la tête, incapable de parler, son sexe encore à moitié dur sous son pantalon. Valérie lui prit la main et l’entraîna hors de l’alcôve, traversant la foule masquée comme si elle connaissait déjà le chemin. Les regards les suivaient, certains curieux, d’autres complices. Elle le guida vers une porte dérobée, puis dans un couloir sombre où la musique n’était plus qu’un battement sourd.

Au bout du couloir, une petite salle privée, éclairée seulement par des guirlandes rouges. Un large lit rond, des coussins noirs, des chaînes discrètes aux montants. Valérie referma la porte derrière eux, le clic du verrou résonnant comme un signal.

Elle se tourna vers lui, retira son masque lentement, révélant ses yeux brillants de désir. « Ici, on enlève tout », souffla-t-elle en faisant glisser sa robe à ses pieds. Nue, elle s’approcha, défit le nœud papillon de Laurent, déboutonna sa chemise, puis son pantalon, le laissant nu lui aussi, son sexe de nouveau dur comme l’acier.

Elle le poussa sur le lit, grimpa à califourchon sur lui, mais au lieu de le prendre immédiatement, elle se pencha en arrière, ses mains posées sur ses cuisses, offrant son corps entier à son regard. « Regarde-moi », murmura-t-elle, écartant lentement ses lèvres intimes avec ses doigts, montrant son sexe encore gonflé et luisant de leurs ébats précédents.

Laurent, hypnotisé, tendit les mains pour la toucher, mais elle les bloqua doucement. « Pas encore. » Elle se redressa, attrapa une petite télécommande sur la table de chevet, et alluma un vibromasseur posé à côté. Le bourdonnement emplit la pièce. Elle le posa sur son clitoris, fermant les yeux un instant, un gémissement profond s’échappant de sa gorge.

Puis elle se pencha en avant, le vibromasseur toujours en place, et prit le sexe de Laurent dans sa bouche, le suçant lentement, profondément, ses lèvres glissant jusqu’à la base, sa langue tournoyant autour du gland à chaque remontée. Le vibromasseur contre son clitoris la faisait trembler, ses gémissements vibrant autour de sa bite.

Laurent, au bord de la folie, attrapa ses hanches et la fit pivoter, la plaçant en 69 au-dessus de lui. Il plongea sa langue dans son sexe dégoulinant, léchant son clitoris, puis son anus, tandis qu’elle continuait de le sucer avec une avidité renouvelée. Le vibromasseur, coincé entre eux, vibrait contre eux deux, amplifiant chaque sensation.

Valérie, au bord de l’explosion, se redressa, retira le vibromasseur et le jeta sur le côté. Elle se tourna, s’empala sur lui d’un mouvement fluide, son sexe nu glissant en elle jusqu’à la garde. Elle le chevaucha avec une vigueur sauvage, ses hanches claquant contre les siennes, ses seins rebondissant à chaque descente.

« Jouis en moi », ordonna-t-elle, ses yeux plantés dans les siens, brillants d’une exigence absolue.

Laurent, submergé, attrapa ses hanches à pleines mains et la pilonna d’en bas, ses coups de reins puissants et profonds, chaque montée faisant claquer ses cuisses contre ses fesses avec un bruit mat qui résonnait dans la pièce. Valérie, cambrée au-dessus de lui, ses cheveux collés à son front par la sueur, haletait bruyamment, ses seins se balançant à chaque impact, ses ongles griffant son torse. Le lit grinçait sous leurs mouvements, le satin des draps glissant sous leurs corps trempés.

C’est alors qu’ils remarquèrent les grandes baies vitrées qui donnaient sur une terrasse intérieure commune à plusieurs chambres. À travers les rideaux à moitié ouverts, un couple masqué (une femme en robe noire transparente et un homme en smoking) se tenait là, immobile, les observant. Leurs masques ne cachaient pas leur excitation : la femme mordait sa lèvre, une main déjà glissée sous sa robe, l’homme la tenait par la taille, sa braguette visiblement tendue.

Valérie, loin d’être gênée, sourit lentement, un éclat provocant dans les yeux. Elle ralentit ses mouvements, ondulant des hanches avec une lenteur calculée, laissant Laurent la remplir profondément à chaque descente. Elle tourna légèrement la tête vers la fenêtre, croisa le regard de la femme et, sans un mot, continua de chevaucher Laurent avec une sensualité exagérée, ses gémissements plus forts, plus théâtraux.

Le couple ne bougea pas. La femme, excitée par le spectacle, glissa sa main plus profondément sous sa robe, caressant visiblement son sexe, tandis que l’homme défit lentement sa braguette, libérant sa bite dure qu’il commença à branler en les regardant. Valérie, sentant le regard brûlant sur elle, accéléra à nouveau, ses hanches claquant contre Laurent, ses seins rebondissant à chaque mouvement. « Ils nous regardent », souffla-t-elle à son oreille, sa voix rauque de plaisir. « Et ça me rend folle. »

Laurent, excité au-delà des mots par cette exhibition inattendue, attrapa ses hanches plus fort et la baisa plus profondément, ses coups de reins devenant brutaux, presque violents. 

 

Valérie hurla, ses cris résonnant dans la pièce, ses yeux rivés sur le couple derrière la vitre avec une excitation presque animale. La femme, masquée de noir, se mordait la lèvre inférieure, un sourire carnassier aux lèvres. D’une main, elle branlait lentement mais fermement le sexe dur de l’homme à côté d’elle, sa paume glissant sur toute la longueur, le faisant frissonner à chaque passage sur son gland. De l’autre côté, l’homme avait glissé sa main sous la robe courte de sa compagne, par derrière, ses doigts disparaissant entre ses fesses, caressant visiblement son intimité ou son anus, la faisant onduler imperceptiblement des hanches.

Ils ne cherchaient pas à jouir, pas encore. Ils se contentaient de se chauffer mutuellement, leurs mouvements lents et synchronisés, leurs regards brûlants braqués sur Valérie et Laurent qui baisaient avec une intensité débridée. La femme accéléra légèrement sa main sur la bite de son partenaire quand Valérie se cambra encore plus, offrant une vue parfaite sur ses seins qui dansaient à chaque poussée de Laurent. L’homme, lui, enfonça un peu plus ses doigts dans la robe de sa compagne, la faisant haleter doucement, mais ils restèrent maîtres d’eux-mêmes, se contentant de s’amuser du spectacle, de se faire monter le désir sans franchir la ligne, comme s’ils voulaient garder toute leur énergie pour la suite de la soirée.

Valérie, submergée par le plaisir d’être regardée, jouit violemment, son vagin pulsant autour de la bite de Laurent, ses cris résonnant comme une symphonie. Laurent, emporté par la scène, jouit à son tour, profondément en elle, son sperme chaud la remplissant en longues pulsations, prolongeant son orgasme jusqu’à ce qu’elle s’effondre sur lui, tremblante.

Le couple derrière la vitre, encore haletant, leur fit un petit signe de tête complice avant de s’éloigner lentement, laissant Valérie et Laurent seuls, enlacés, leurs corps luisants de sueur, leurs souffles mêlés.

Valérie, un sourire satisfait aux lèvres, murmura : « Je crois qu’on vient de se faire de nouveaux amis. »