Valérie et Laurent : -13- BDSM pour débutant

Le colis était arrivé un mardi matin. Valérie l’avait ouvert avec des mains presque tremblantes : un kit BDSM « débutant » commandé sur un site discret, mais complet. Menottes rembourrées en cuir noir, cordes en coton doux, une petite cravache souple, un bandeau en satin, et surtout, un set de bougies à cire basse température, rouges et noires.

Le vendredi soir, ils avaient tout installé dans la chambre. Valérie, nue, les yeux brillants d’excitation et d’une pointe d’appréhension, s’allongea sur le lit. Laurent, torse nu, pantalon de jogging bas sur les hanches, attacha d’abord ses poignets aux montants de la tête de lit avec les menottes, puis fixa les cordes autour de ses chevilles et de ses genoux. Il remonta ses jambes, les écartant largement, genoux pliés et relevés presque jusqu’à sa poitrine. Une sangle passée sous le matelas maintint la position : Valérie était complètement ouverte, son sexe rasé et déjà luisant, son anus plissé parfaitement accessible, offerte comme jamais.

« Tu es magnifique comme ça », murmura Laurent, sa voix grave, en passant une main possessive sur son ventre rond, puis sur ses seins lourds. Valérie frissonna, ses tétons durcissant immédiatement.

Il commença par le bandeau : le satin noir glissa sur ses yeux, la plongeant dans l’obscurité. Le premier contact fut la petite cravache. Il la fit glisser doucement sur sa peau, d’abord sur ses seins, effleurant les tétons, puis sur son ventre, ses cuisses, l’intérieur sensible de ses genoux. Valérie haletait déjà. Il donna le premier coup, très léger, juste un petit claquement sur l’intérieur de sa cuisse. Elle sursauta, un gémissement étouffé dans la gorge. Il recommença, un peu plus fort, alternant entre les deux cuisses, puis sur ses fesses relevées, laissant de légères marques roses qui la faisaient frissonner.

« Plus ? » demanda-t-il, la voix rauque.
« Oui… » souffla-t-elle.

Il augmenta légèrement l’intensité, frappant doucement sur ses lèvres intimes, juste assez pour la faire tressaillir de plaisir et de douleur mêlés. Valérie mordit sa lèvre, ses hanches se soulevant malgré les liens.

Puis il prit la première bougie. Il l’alluma, laissant la cire fondre lentement. La première goutte tomba sur son ventre, juste au-dessus du nombril. Valérie inspira brutalement, le choc chaud la faisant cambrer. Il continua, goutte après goutte, dessinant une ligne de feu tiède sur sa peau, descendant vers ses seins. Quand la cire toucha un téton, elle cria doucement, son corps se tendant dans les liens, son sexe se contractant visible.

Il alterna, une goutte sur chaque téton, puis sur l’intérieur de ses cuisses, de plus en plus près de son sexe. Quand une goutte tomba directement sur son clitoris, Valérie hurla de plaisir, ses hanches se soulevant violemment, ses chaînes claquant contre le lit. « Encore… » gémit-elle.

Laurent, la bite dure comme jamais, continua, laissant couler la cire sur ses lèvres intimes, sur son anus exposé, chaque goutte la faisant trembler plus fort. Valérie était au bord de l’explosion,

son corps couvert de traces rouges figées, son sexe dégoulinant, palpitant encore des restes de son orgasme. Laurent, le regard brûlant, prit son temps pour admirer le tableau : Valérie, attachée, jambes écartées et relevées, offerte comme une toile vivante, la cire craquelée sur sa peau, son sexe ouvert et luisant, son anus plissé encore sensible.

Il attrapa le vibromasseur longue portée du kit, un modèle fin et courbé, l’alluma à faible intensité et le posa d’abord sur son clitoris, juste assez pour la faire sursauter. Valérie gémit, ses hanches se soulevant malgré les liens. Il le fit glisser lentement le long de ses lèvres intimes, puis l’enfonça doucement dans son vagin, le faisant tourner pour toucher toutes ses parois. Elle haletait, ses gros seins se soulevant à chaque respiration saccadée.

Il retira le jouet, le porta à sa bouche et lécha ses jus dessus, ses yeux plantés dans les siens à travers le bandeau. Puis il replongea, sa langue prenant la place du vibromasseur, léchant son sexe avec une lenteur presque cruelle, aspirant son clitoris, sa langue entrant profondément en elle. Valérie cria, son corps se tendant dans les cordes.

Il alterna ainsi plusieurs fois : le vibromasseur dans son vagin, puis sa langue, puis à nouveau le jouet, augmentant progressivement l’intensité. Valérie tremblait, au bord d’un nouvel orgasme, ses gémissements devenant des supplications.

Laurent prit ensuite un petit plug vibrant, plus fin, lubrifié généreusement. Il le posa contre son anus, le faisant tourner doucement autour de l’entrée avant de l’enfoncer lentement, millimètre par millimètre, le vibromasseur toujours dans son vagin. Valérie hurla de plaisir, la double vibration la rendant folle. Il joua avec le plug, le faisant entrer et sortir, le tournant, pendant que sa langue revenait parfois lécher son clitoris par-dessus le jouet.

Valérie, au bord de l’explosion, suppliait : « Je vais jouir encore… » Laurent accéléra les deux jouets, sa langue rejoignant le chaos, et elle jouit violemment, son corps convulsant dans les liens, ses cris résonnant dans la pièce.

Laurent, la bite douloureusement dure, remonta lentement le long de son corps, s’approchant de son visage. Il retira le bandeau, laissant Valérie le regarder avec des yeux fous de désir. Il guida son sexe vers sa bouche, juste assez pour qu’elle le prenne entre ses lèvres, le suçant profondément, sa langue tournoyant autour du gland, ses gémissements vibrant contre lui. Elle le suça avec une avidité désespérée, juste assez pour le rendre encore plus dur, le faire gémir, mais pas assez pour le faire jouir.

Laurent, la respiration courte, remonta lentement le long de son corps, ses mains caressant ses flancs, puis ses seins lourds encore marqués par la cire. Il prit un téton entre ses doigts, le pinça doucement, puis plus fort, le roulant délicatement entre son pouce et son index. Valérie gémit, son dos se cambrant autant que les liens le permettaient, la sensation aiguë irradiant directement vers son sexe déjà au bord de l’explosion. Il répéta le geste sur l’autre téton, alternant entre caresses légères et pincements plus fermes, ses yeux plongés dans les siens, savourant chaque frisson, chaque gémissement qui s’échappait de sa gorge.

« Tu es tellement sensible », murmura-t-il, sa voix rauque, en pinçant les deux tétons en même temps, les tirant légèrement. Valérie hurla doucement, ses hanches se soulevant violemment, son sexe et son anus se contractant autour des jouets encore en elle.

Laurent, excité par sa réaction, se redressa et ouvrit le tiroir de la table de nuit. Il en sortit leur double gode favori, long, souple, noir et luisant. Il le présenta à Valérie, le tenant devant son visage. « Lèche-le », ordonna-t-il doucement.

Valérie, les yeux brillants de désir, ouvrit la bouche et prit une extrémité du gode entre ses lèvres, le suçant lentement, sa langue dansant dessus comme elle l’aurait fait avec une vraie bite. Elle le lécha sur toute sa longueur, le recouvrant de salive, ses gémissements vibrant contre le silicone. Laurent, la bite palpitante, regarda le spectacle, son excitation à son paroxysme.

Quand le gode fut bien humide, il le retira de sa bouche, descendit entre ses cuisses toujours écartées et relevées, et le positionna contre son sexe dégoulinant. Il l’enfonça lentement, centimètre par centimètre, le gode s’enfonçant profondément dans son vagin, le plug vibrant toujours dans son anus. Valérie hurla de plaisir, son corps se cambrant violemment, ses seins rebondissant à chaque mouvement.

Laurent bougea le gode en rythme, le faisant entrer et sortir avec une précision experte, ses yeux rivés sur son visage, sur son sexe

qui avalait le jouet avec avidité. Laurent, les yeux brillants d’un désir presque animal, ralentit un instant, laissant le gode bien enfoncé dans son vagin. Il posa une main possessive sur son ventre rond, sentant les contractions de son plaisir, puis descendit vers le plug vibrant toujours niché dans son anus. D’un geste lent et assuré, il le retira, le bijou scintillant glissant hors de son trou dilaté avec un bruit humide qui fit frissonner Valérie.

Son anus, maintenant parfaitement ouvert, palpitait sous la lumière tamisée, luisant de lubrifiant et de ses propres jus. Valérie gémit, ses hanches se soulevant légèrement malgré les liens, son corps réclamant plus. Laurent, un sourire carnassier aux lèvres, prit le double gode encore luisant de son vagin et le positionna contre son anus béant.

« Tu veux les deux ? » murmura-t-il, sa voix grave et rauque.

« Oui… remplis-moi… partout », haleta-t-elle, ses yeux mi-clos, son corps tremblant d’anticipation.

Il versa une généreuse quantité de lubrifiant sur l’extrémité du gode, puis sur son anus déjà dilaté, et commença à l’enfoncer lentement. Le jouet, long et souple, glissa dans son cul avec une facilité obscène, centimètre par centimètre, son trou s’ouvrant autour du silicone comme s’il l’avait attendu toute la soirée. Valérie hurla de plaisir, un cri profond et primal, ses gros seins se soulevant à chaque respiration saccadée, ses tétons durcis frôlant l’air.

Quand la moitié du gode fut bien enfoncée dans son anus, Laurent reprit l’autre extrémité, toujours luisante de ses jus, et la glissa dans son vagin trempé, la remplissant complètement, les deux parties du jouet la pénétrant en même temps, séparées seulement par la fine paroi qui vibrait à chaque mouvement. Valérie convulsa, son corps se cambrant violemment dans les liens, ses cris résonnant dans la chambre.

Il commença à bouger le gode, lentement d’abord, faisant glisser les deux extrémités en rythme, entrant et sortant de son vagin et de son anus avec une précision diabolique. Chaque mouvement faisait claquer ses fesses contre le lit, ses seins rebondissant à chaque poussée, ses gémissements devenant des hurlements. Il accéléra, le gode claquant dans ses deux trous, ses parois internes pulsant autour du silicone, son clitoris frottant contre sa main à chaque descente.

Valérie, submergée, jouit violemment, son corps convulsant dans les liens, son vagin et son anus pulsant autour du double gode, ses jus coulant abondamment sur les draps. Laurent, au bord de l’explosion rien qu’à la voir, continua encore quelques secondes, prolongeant son orgasme jusqu’à ce qu’elle s’effondre, tremblante, à bout de souffle.

Il retira lentement le gode, son sexe palpitant, et se pencha pour l’embrasser passionnément, leurs langues se mêlant, leurs corps encore frémissants.

Valérie, le souffle court, les yeux brillants de désir brut, saisit son visage entre ses mains encore tremblantes et murmura contre ses lèvres : « Viens… tu as bien mérité mon cul. »

Elle se redressa à peine, toujours attachée, mais bougea les hanches pour lui offrir son anus encore béant, palpitant, luisant de lubrifiant et de ses propres jus. Laurent, la bite raide comme jamais, n’attendit pas une seconde. Il versa une dernière goutte de lubrifiant sur son gland, puis sur l’entrée déjà ouverte, et se positionna derrière elle.

Il entra d’un seul mouvement, lent mais implacable, son sexe glissant dans son cul dilaté avec une facilité obscène. Valérie hurla, un cri de plaisir pur, son dos se cambrant violemment, ses poignets tirant sur les menottes, ses chevilles toujours relevées et écartées. Il la remplit complètement, ses couilles claquant contre ses fesses à chaque poussée profonde.

« Putain… oui… défonce-moi », gémit-elle, la voix brisée, ses hanches se soulevant pour l’accueillir encore plus profondément malgré les liens. Laurent attrapa ses hanches à deux mains, ses doigts s’enfonçant dans sa chair douce, et la pilonna avec une vigueur animale, ses coups de reins puissants et réguliers, chaque entrée faisant trembler son corps entier, ses seins lourds rebondissant à chaque impact.

Il accéléra, ses hanches claquant contre ses fesses rondes, le bruit humide et brutal emplissant la pièce. Valérie, submergée, se caressait le clitoris avec une main libérée par un lien légèrement desserré, ses doigts glissant dans son sexe dégoulinant, ses cris devenant des hurlements : « Plus fort… je veux te sentir jouir dans mon cul ! »

Laurent, au bord de l’explosion, grogna, ses coups devenant sauvages, presque violents. Il sentit son anus se contracter autour de lui, la pression parfaite le poussant au bord du gouffre. « Je vais jouir… » haleta-t-il. Valérie, au paroxysme, cria : « Oui, remplis-moi, donne-moi tout ! »

Il jouit avec un rugissement primal, profondément enfoui dans son cul, des jets chauds et abondants pulsant contre ses parois, la remplissant complètement. Valérie, sentant chaque giclée, jouit à son tour, son corps convulsant violemment dans les liens, son sexe giclant sur ses doigts, son anus pulsant autour de la bite de Laurent, prolongeant son orgasme jusqu’à l’épuisement total.

Il s’effondra sur elle, encore en elle, leurs corps collés, leurs souffles mêlés. Valérie, un sourire comblé aux lèvres, murmura : « Tu peux me détacher maintenant… ou pas. »

Laurent, encore tremblant, rit doucement contre son cou. « On a toute la nuit. »

Cette nuit-là, leur passion, plus intense que jamais, brûlait encore, prête à s’enflammer à nouveau.

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