L’annonce et le premier contact

Monique, 65 ans bien tassés, était une femme qu’on remarquait à peine dans la rue. Cheveux gris argentés impeccablement coiffés, tailleur-pantalon classique, lunettes fines : l’image parfaite de la retraitée élégante et discrète. Personne n’aurait deviné ce qu’elle cachait derrière ses yeux verts,, ni ce qu’elle faisait, seule chez elle, la nuit venue.

Un soir, en parcourant un site de petites annonces un peu particulier, elle tomba sur celle d’Amaury, photographe professionnel spécialisé dans les nus artistiques et érotiques. « Recherche modèles féminines tous âges, tous corps, pour série sensuelle et élégante. Discrétion absolue. »

Monique sourit. Elle tapa sa réponse sans hésiter :
« 65 ans, corps de femme mûre, très à l’aise avec la nudité. Disponible rapidement. »

Deux jours plus tard, elle se retrouvait dans le loft d’Amaury, un vaste espace lumineux du Marais, rempli de toiles blanches, de spots doux et d’un grand lit recouvert de draps gris perle.

Le jeu commence

Amaury, la quarantaine, charmant et professionnel, l’accueillit avec un café et un sourire détendu.
« On commence doucement, comme vous voulez. Vous vous mettez à l’aise, on discute, et on voit ce qui vous plaît. »

Monique posa son sac, ôta son manteau… puis, sans un mot, défit un à un les boutons de sa chemise. Sous le tissu sage, elle portait un ensemble de lingerie rouge sombre, dentelle fine, porte-jarretelles et bas résille. Amaury haussa un sourcil, agréablement surpris. Elle continua, laissant tomber son tailleur-pantalon, révélant des formes généreuses, une peau encore ferme malgré les années, des seins lourds et naturels, un ventre rond, des cuisses puissantes. Amaury, derrière son appareil, resta un instant figé, le souffle court. Il avait photographié des femmes de tous âges, mais jamais une présence aussi magnétique, aussi assumée.

« On commence ? » demanda-t-il, la voix un peu rauque.

Monique hocha la tête et s’allongea sur le drap gris perle, une jambe repliée, l’autre légèrement écartée, offrant une vue parfaite sur l’ombre entre ses cuisses. Le premier déclic retentit. Elle bougea lentement, se cambrant, laissant la lingerie glisser sur une épaule, révélant un sein entier, le téton déjà dur. Amaury s’approcha, ajustant son objectif, son visage à quelques centimètres de sa peau.

« Plus près », murmura-t-elle, un sourire en coin.

Il obéit, son appareil frôlant presque son ventre rond. Monique écarta doucement les cuisses, la dentelle de sa culotte se tendant sur son sexe. Le déclic se fit plus rapide. Elle glissa une main sur son sein, le pressa, pinça le téton entre ses doigts, un gémissement léger s’échappant de ses lèvres. Amaury déglutit, son regard passant de l’écran à la femme, puis de nouveau à l’écran, incapable de se concentrer.

Elle se redressa à moitié, s’appuyant sur un coude, et fit tomber l’autre bretelle. Les deux seins libres maintenant, lourds, offerts. « Tu veux un gros plan ? » demanda-t-elle d’une voix basse, presque un ronronnement. Amaury, le souffle court, s’agenouilla au bord du lit, l’objectif à quelques centimètres de sa poitrine.

Monique effleura son propre téton du bout des doigts, le pinçant doucement jusqu’à ce qu’il durcisse encore plus, un sourire joueur aux lèvres. Elle descendit lentement vers son ventre rond, ses ongles traçant des lignes légères sur sa peau, puis plus bas, frôlant la dentelle rouge trempée de sa culotte. Amaury, l’appareil toujours collé à l’œil, respirait plus fort, le déclic de l’obturateur devenant presque frénétique.

Elle écarta lentement les cuisses, juste assez pour que la lumière douce attrape l’ombre entre elles. D’un geste lent, presque théâtral, elle glissa un doigt sous l’élastique de sa culotte, tirant le tissu sur le côté. Son sexe apparut, lisse, gonflé, déjà luisant. Elle laissa l’appareil la dévorer quelques secondes, puis passa deux doigts entre ses lèvres intimes, les enfonçant légèrement avant de les ressortir, brillants de ses jus. Elle les porta à sa bouche, les lécha longuement, sa langue tournoyant autour avec une lenteur calculée, ses yeux plantés dans l’objectif, donc dans ceux d’Amaury.

Le déclic s’arrêta net. Amaury déglutit, la gorge sèche.

Monique se retourna alors, à quatre pattes sur le lit, offrant son dos à l’objectif. Elle cambra les reins, laissant la culotte remonter entre ses fesses rondes et fermes. Lentement, elle passa ses mains derrière elle, attrapa le tissu et l’écarta juste assez pour révéler son anus, plissé, rose, légèrement dilaté par l’excitation. Elle resta ainsi, immobile un instant, puis bougea doucement les hanches, faisant danser la lumière sur sa peau.

Elle se pencha plus en avant, le visage presque contre les draps, les fesses relevées au maximum, et écarta davantage la culotte, ses doigts glissant le long de sa raie, effleurant son anus en cercles lents, presque hypnotiques. Un léger gémissement échappa de sa gorge, assez fort pour qu’Amaury l’entende derrière l’appareil.

Elle tourna la tête, un sourire provocant aux lèvres, et murmura d’une voix grave : « Tu veux un gros plan ? Viens plus près… je ne mords pas. »

Amaury, le sexe douloureusement tendu dans son jean, posa enfin l’appareil. Il n’était plus photographe. Il n’était plus qu’un homme, complètement à sa merci.

Amaury posa l’appareil sur la table basse, ses mains tremblant légèrement, les yeux rivés sur Monique toujours à quatre pattes, la culotte écartée, son anus et son sexe offerts comme une invitation irrésistible. Il s’approcha, presque hypnotisé, s’agenouillant derrière elle. Monique tourna la tête, un sourire carnassier aux lèvres. « Touche-moi », ordonna-t-elle doucement, sa voix rauque vibrant dans l’air.

Amaury, incapable de résister, posa ses mains sur ses fesses rondes, les écartant encore plus, admirant l’anus plissé et le sexe luisant de Monique. Il resta un instant figé, le souffle court, comme hypnotisé par ce qu’elle lui offrait. Puis, lentement, il se pencha en avant, son visage à quelques centimètres de sa peau.

Sa langue effleura d’abord l’intérieur de ses cuisses, remontant doucement, savourant la chaleur et le léger tremblement de ses muscles. Monique gémit, ses hanches se soulevant imperceptiblement pour l’encourager. Il posa enfin sa bouche sur son sexe, léchant lentement ses lèvres intimes, sa langue plate remontant jusqu’à son clitoris gonflé, le suçant doucement avant de plonger plus profondément. Monique haleta, ses mains agrippant les draps, ses jambes s’ouvrant encore plus largement.

Il prit son temps, alternant entre longues léchades lentes et petites succions rapides sur son clitoris, ses doigts écartant délicatement ses lèvres pour mieux la goûter. Monique tremblait, ses gémissements devenant plus rauques, plus profonds. « Oui… comme ça… ne t’arrête pas », souffla-t-elle, sa voix tremblante de plaisir.

Après plusieurs minutes où il la dévora avec une patience presque cruelle, Monique, au bord de l’explosion, le repoussa doucement. « À moi maintenant », murmura-t-elle en se redressant. Elle le fit s’allonger sur le dos, grimpa entre ses jambes et prit son sexe déjà dur dans sa main. Elle le caressa lentement, ses doigts glissant sur toute la longueur, puis se pencha pour le prendre en bouche.

Elle le suça avec une maîtrise impressionnante, sa langue tournoyant autour du gland, descendant profondément, puis remontant pour lécher la hampe entière. Amaury gémit, ses mains dans ses cheveux gris argent, ses hanches se soulevant légèrement pour aller plus loin dans sa gorge. Monique alterna entre gorge profonde et léchages lents sur ses couilles, ses yeux levés vers lui, brillants de désir.

Quand elle sentit son sexe dur comme jamais, palpitant dans sa bouche, elle se releva, s’allongea sur le dos, les jambes écartées, et murmura : « Viens me baiser. »

Amaury, excité au-delà des mots, s’installa entre ses cuisses, son sexe pressant contre son entrée trempée. Il entra en elle d’un mouvement lent et profond, savourant la chaleur de son vagin qui l’enserrait. Monique gémit, ses mains agrippant ses épaules, ses hanches se soulevant pour l’accueillir plus profondément. Il la prit avec une régularité hypnotique, ses coups de reins profonds et puissants, ses yeux rivés aux siens.

Au bout d’un moment, alors qu’il accélérait, Valérie le repoussa doucement, un sourire provocant aux lèvres. « Attends », souffla-t-elle. Elle se redressa, le fit s’allonger de nouveau, et reprit son sexe en bouche, le suçant avec une avidité renouvelée, sa langue dansant sur le gland, ses lèvres serrées autour de lui, le faisant gémir plus fort. Elle le branla en même temps, ses doigts glissant sur la hampe, le goût de leurs jus mélangés sur sa langue.

Elle continua ainsi, alternant entre succions profondes et léchages lents, jusqu’à ce qu’Amaury, au bord de l’explosion, grogne : « Je vais jouir… » Monique, excitée par son plaisir, accéléra, sa bouche et sa main travaillant en rythme parfait, jusqu’à ce qu’il jouisse violemment, des jets chauds inondant sa bouche. Elle avala chaque goutte, sa langue lapant le gland sensible pour prolonger son plaisir.

Épuisés, ils s’effondrèrent sur le lit, leurs corps enlacés, leurs souffles mêlés. Monique, un sourire comblé aux lèvres, murmura : « La prochaine fois, on fera les photos… après. »

Cette nuit-là, leur rencontre, bien plus qu’une séance photo, avait scellé une passion inattendue.