Désir ardent sous la peau tendue

Clémence, 35 ans, rousse aux cheveux longs et flamboyants, enceinte de sept mois et demi, sentait son corps changer à chaque instant. Son ventre rond, sa poitrine devenue plus lourde, ses hanches légèrement élargies : tout en elle irradiait une sensualité différente, presque animale. Avec son mari Simon, ils avaient toujours eu une sexualité libre et intense, mais depuis sa grossesse, son désir s’était décuplé, comme si chaque hormone la poussait vers une faim insatiable.

Ce soir-là, dans leur appartement parisien aux grandes fenêtres ouvertes sur la nuit d’été, Clémence portait une simple nuisette en satin blanc qui moulait son ventre arrondi et laissait deviner ses seins gorgés de lait, les tétons sombres visibles sous le tissu fin. Simon, rentré tard du travail, la trouva allongée sur le canapé, une main posée sur son ventre, l’autre glissant doucement entre ses cuisses.

« Tu m’as manqué », murmura-t-elle en le voyant, sa voix plus grave qu’à l’accoutumée.

Simon, immédiatement captivé par la vue de sa femme enceinte, si belle, si offerte, s’approcha, s’agenouillant devant elle. Il posa ses lèvres sur son ventre rond, embrassant la peau tendue, puis descendit lentement, relevant la nuisette. Clémence écarta les cuisses sans un mot, son sexe déjà humide luisant sous la lumière tamisée.

Il la lécha doucement d’abord, sa langue effleurant ses lèvres intimes, puis plus profondément, goûtant son goût légèrement changé, plus riche, plus doux depuis la grossesse. Clémence gémit, ses mains dans ses cheveux, ses hanches se soulevant légèrement pour aller à la rencontre de sa bouche. Simon prit son temps, léchant son clitoris avec une lenteur presque cruelle, puis glissant sa langue à l’intérieur, la faisant trembler.

« Je te veux en moi », souffla-t-elle, sa voix tremblante de désir.

Simon se releva, son sexe déjà dur pressant contre son pantalon. Il l’enleva rapidement, puis s’allongea à côté d’elle sur le canapé, l’attirant contre lui. Clémence, avec une agilité surprenante malgré son ventre, grimpa à califourchon sur lui, ses cuisses écartées autour de ses hanches. Elle guida son sexe en elle lentement, savourant chaque centimètre, son vagin chaud et serré l’enveloppant complètement. Simon gémit, ses mains posées sur son ventre rond, caressant la peau tendue pendant qu’elle commençait à bouger, lentement, profondément.

Clémence ondulait des hanches, ses seins lourds se balançant à chaque mouvement, ses tétons frôlant parfois son torse. Simon, fasciné, les prit dans ses mains, les pressant doucement, sentant leur poids nouveau, leurs veines plus marquées. Il pinça un téton entre ses doigts, faisant jaillir une goutte de colostrum qu’il porta immédiatement à sa bouche, goûtant le liquide doux et légèrement sucré. Clémence gémit plus fort, surprise et excitée par ce geste intime.

Elle accéléra, ses hanches claquant contre les siennes avec une cadence plus urgente, plus profonde, son ventre rond frottant contre le torse de Simon à chaque descente, la peau chaude et tendue de son abdomen glissant sur la sueur de son mari. Chaque mouvement faisait onduler ses seins lourds, les veines bleues plus visibles sous la peau laiteuse, les tétons sombres dressés comme des pointes de feu. Simon, sentant son plaisir monter comme une marée inexorable, glissa une main entre leurs corps, son pouce trouvant son clitoris gonflé, rouge et luisant, le caressant en cercles rapides, précis, presque cruels.

Clémence gémit bruyamment, un son rauque et profond qui vibrait dans sa gorge, ses cuisses tremblant autour de ses hanches. Elle se cambra encore plus, offrant son ventre rond à ses caresses, ses mains agrippant les accoudoirs du canapé pour se maintenir, ses ongles s’enfonçant dans le tissu. « Oui… là… ne t’arrête pas », haleta-t-elle, ses yeux mi-clos, ses lèvres entrouvertes laissant échapper des soupirs de plus en plus rapides.

Simon, hypnotisé par la vue de sa femme enceinte, si belle, si offerte, accéléra encore le rythme de son pouce, alternant entre pressions fermes et caresses légères, sentant son clitoris pulser sous ses doigts. Il sentait aussi son propre sexe gonfler en elle, la chaleur de son vagin devenu plus étroit, plus brûlant depuis la grossesse, l’enserrant comme un étau de velours humide. Il poussa plus fort, ses hanches montant à la rencontre des siennes, ses coups de reins plus profonds, plus possessifs, son autre main posée sur son ventre rond, sentant la vie qu’ils avaient créée bouger légèrement sous sa paume.

Clémence, au bord de l’explosion, rejeta la tête en arrière, ses cheveux roux collés à son cou par la sueur, ses seins se soulevant à chaque respiration saccadée. « Je vais jouir… Simon… je vais jouir tellement fort… » cria-t-elle, sa voix brisée par le plaisir. Son corps se tendit comme un arc, ses cuisses se contractant autour de lui, son vagin pulsant violemment autour de sa bite. L’orgasme la traversa comme une tempête, ses cris résonnant dans l’appartement, ses jus coulant abondamment, trempant leurs cuisses, le canapé, dégoulinant sur les couilles de Simon.

Simon, submergé par ses contractions, sentit son propre plaisir exploser. Il jouit profondément en elle, des jets chauds et puissants pulsant contre ses parois, remplissant son vagin déjà plein, prolongeant son orgasme jusqu’à ce qu’elle s’effondre sur lui, tremblante, à bout de souffle.

Ils restèrent ainsi, enlacés, leurs corps encore unis, la sueur et leurs fluides se mélangeant sur leurs peaux. Simon caressa doucement son ventre rond, sentant leur enfant bouger légèrement, un sourire ému aux lèvres. Clémence, les yeux fermés, murmura contre son cou : « Je t’aime… et j’aime ce que tu me fais. »

Cette nuit-là, leur amour, leur désir, leur attente d’un enfant, tout se mêlait dans une intimité plus profonde que jamais.