Plaisir anal pour une femme enceinte

Une faim secrète

Isabelle, 44 ans, enceinte de huit mois, avait toujours été une femme discrète en apparence. Cheveux châtains mi-longs, regard noisette, silhouette élégante même avec son ventre rond et imposant, elle travaillait comme avocate dans un cabinet parisien réputé. Mais sous cette façade sérieuse bouillonnait un désir brut, presque obsessionnel, qu’elle n’avait révélé qu’à son mari Marc : elle adorait la sodomie. Depuis sa grossesse, cette envie était devenue une véritable addiction, comme si les hormones avaient libéré quelque chose de sauvage en elle.

Ce soir-là, dans leur appartement haussmannien du 16e arrondissement, Isabelle rentra tard du travail. Marc l’attendait, torse nu dans la chambre, un sourire complice aux lèvres. Elle portait une robe moulante noire qui soulignait son ventre rond et ses seins lourds, gorgés de lait, les tétons visibles sous le tissu fin. Sans un mot, elle s’approcha, l’embrassa avec une urgence brûlante, sa langue cherchant la sienne.

« J’ai pensé à toi toute la journée », murmura-t-elle, sa main glissant déjà sur la bosse de son pantalon. « Et surtout à ça. »
Marc, sachant exactement ce qu’elle voulait, la fit pivoter doucement, relevant sa robe pour révéler ses fesses rondes, sans culotte comme elle le faisait souvent maintenant. Il caressa sa peau, puis écarta ses fesses, son regard tombant sur son anus déjà légèrement dilaté par leurs jeux précédents.

Isabelle gémit, se cambrant contre lui. « Prends-moi là. Tout de suite. »

Marc, excité par son impatience, attrapa le flacon de lubrifiant sur la table de nuit. Il en versa généreusement sur ses doigts, puis sur son entrée, massant doucement, entrant et sortant avec une lenteur calculée. Isabelle haletait, ses mains agrippant la commode, ses seins lourds se balançant à chaque mouvement. Il glissa un deuxième doigt, puis un troisième, dilatant son anus avec une précision experte, la faisant trembler de plaisir.

« Je te veux dedans », supplia-t-elle, sa voix rauque.

Marc se positionna derrière elle, son sexe dur et gainé d’un préservatif pressant contre son entrée. Il entra lentement, centimètre par centimètre, savourant la sensation de son anus serré et chaud qui l’enserrait comme un étau de velours. Isabelle hurla de plaisir, son corps se cambrant violemment, ses mains griffant le bois de la commode.

Il commença des va-et-vient lents, profonds, chaque mouvement la remplissant complètement, son ventre rond frottant contre le meuble à chaque poussée. Isabelle, submergée, glissa une main entre ses cuisses, caressant son clitoris trempé avec une frénésie désespérée, ses doigts glissant dans ses jus qui coulaient abondamment. Marc accéléra, ses hanches claquant contre ses fesses, ses mains agrippant ses hanches rondes, ses coups de reins devenant plus puissants, plus brutaux.

« Plus fort… défonce-moi le cul », cria-t-elle, ses seins lourds rebondissant à chaque impact, ses tétons frottant contre le bois. Marc obéit, ses coups de reins devenant sauvages, son sexe cognant profondément dans son anus, la sensation de son trou serré autour de lui le rendant fou.  

Isabelle, au bord de l’explosion, se caressait le clitoris avec une violence désespérée, ses doigts glissant sur sa chair gonflée et trempée, frottant en cercles rapides, presque brutaux, comme si elle voulait se punir et se récompenser en même temps. Ses cris résonnaient dans la chambre, rauques, déchirés, montant en crescendo à chaque coup de reins que Marc lui assénait dans le cul. Ses fesses rondes tremblaient sous l’impact, son anus serré autour de la bite de son mari comme s’il ne voulait plus jamais la lâcher.

Elle était complètement perdue dans le plaisir : son ventre rond, tendu à l’extrême, frôlait le bord de la commode à chaque poussée, ses seins lourds, gorgés de lait, se balançaient lourdement, les tétons si sensibles qu’ils frottaient contre le bois froid, envoyant des éclairs de plaisir jusqu’au creux de son ventre. « Plus fort… défonce-moi… je veux tout sentir », hurla-t-elle, sa voix brisée, presque animale.

Marc, emporté par ses cris, attrapa ses hanches à deux mains, ses doigts s’enfonçant dans sa chair douce, et la pilonna encore plus violemment, ses coups de reins devenant sauvages, presque punitifs. Le bruit de leurs corps qui se heurtent, humide et brutal, emplissait la pièce, mêlé aux gémissements d’Isabelle qui perdaient toute retenue. Il sentait son anus se contracter autour de lui à chaque poussée, comme s’il voulait le retenir, le vider complètement.

Isabelle, au paroxysme, enfonça trois doigts dans son sexe trempé tout en continuant de se caresser le clitoris, ses hanches se soulevant pour mieux s’empaler sur la bite de Marc. « Je jouis… oh putain, je jouis par le cul ! » hurla-t-elle, son corps se convulsant violemment, son anus pulsant autour de lui en spasmes puissants, son vagin inondant ses doigts de ses jus qui giclèrent légèrement, coulant sur ses cuisses et sur le sol.

Marc, submergé par la sensation de son anus qui le serrait comme un étau brûlant, ne put se retenir plus longtemps. Il se retira d’un coup, arracha le préservatif, et se branla furieusement au-dessus d’elle. Isabelle, encore tremblante écarta ses fesses avec ses mains pour lui offrir son anus encore ouvert, palpitant, luisant de lubrifiant.

« Dans mon cul… donne-moi tout », supplia-t-elle, la voix brisée.

Marc jouit avec un grognement primal, des jets chauds, puissants et abondants, éclaboussant son anus béant, coulant à l’intérieur, dégoulinant le long de sa raie, sur ses fesses, sur son sexe encore tremblant. Isabelle, sentant son sperme chaud la remplir et couler partout, jouit une seconde fois, ses doigts revenant sur son clitoris, son corps convulsant à nouveau, ses cris se mêlant aux derniers grognements de Marc.

Elle s’effondra à quatre pattes, le sperme coulant lentement de son anus dilaté, formant une petite flaque sur le parquet. Marc, à bout de souffle, s’agenouilla derrière elle, l’embrassant dans le cou, ses mains caressant son ventre rond avec une tendresse infinie.

« Tu es… incroyable », murmura-t-il.

Isabelle, encore tremblante, tourna la tête, un sourire épuisé mais comblé aux lèvres.

Cette nuit-là, leur passion, plus forte que jamais, brûlait encore, prête à s’embraser à nouveau dès le lendemain.