Valérie et Laurent : -11- Deux couples se découvrent

Après le spectacle brûlant derrière la vitre et leur échange de regards complices sur la banquette, le couple masqué – elle en robe latex rouge, lui en smoking impeccable – s’était présenté simplement : Inès et Malik. Les quatre verres de champagne s’étaient enchaînés, les rires aussi, et très vite les mots étaient devenus plus crus, les sous-entendus plus directs.

Inès, un sourire carnassier derrière son masque noir, s’était penchée vers Valérie :
« On a une suite privée à l’étage. Grande baignoire, miroirs partout, et un lit assez large pour quatre. Vous venez ? »

Valérie avait regardé Laurent. Un seul regard. Pas besoin de parler. Ils s’étaient levés en même temps.

La suite était exactement comme promis : lumières tamisées rouge et or, une baignoire jacuzzi déjà remplie, et un lit king-size encadré de miroirs au plafond et sur les murs.
Ils avaient proposé de profite de la douche et se rejoindre ensuite.
Les masques étaient restés en place, l’anonymat gardé, mais les vêtements du couple, eux, avaient volé en moins de deux minutes.

Inès, nue à l’exception du plug à cristal rouge qui brillait entre ses fesses comme un joyau provocant, s’approcha de Valérie avec une démarche féline. Valérie, qui n’avait jamais été attirée par les femmes, sentit pourtant une chaleur inattendue monter en elle. L’alcool, les regards brûlants, l’ambiance saturée de désir… tout conspirait à faire tomber ses barrières. Inès, sans un mot, posa ses mains sur ses hanches, l’attirant doucement contre elle.

Elles commencèrent à danser, lentement, au rythme de la musique lointaine qui filtrait dans la suite. Leurs corps se frôlaient, se collaient, se séparaient à peine. Inès se cambra, frottant ses seins contre ceux de Valérie à travers le tissu de sa robe, ses tétons durcis traçant des lignes de feu. Valérie, le souffle court, se laissa emporter : elle posa ses mains sur les hanches nues d’Inès, puis remonta lentement vers sa taille, ses doigts effleurant la peau chaude, descendant ensuite sur ses fesses rondes, frôlant le bijou du plug.

Inès se retourna, dos à elle, et se frotta contre Valérie, ses fesses ondulant contre son ventre, le cristal froid du plug effleurant parfois sa robe. Valérie, surprise par sa propre audace, glissa ses mains sur les seins d’Inès, les pressant doucement, sentant les tétons durcir sous ses paumes. Inès gémit, tourna la tête, et leurs lèvres se trouvèrent. Le baiser fut d’abord hésitant, puis vorace : leurs langues se cherchèrent, se mêlèrent, se goûtèrent avec une urgence nouvelle.

Valérie, l’alcool aidant, perdit toute retenue. Elle se colla plus fort, ses mains explorant le corps d’Inès comme si elle le découvrait pour la première fois : elle pinça un téton, fit rouler l’autre entre ses doigts, descendit sur son ventre, effleura son sexe trempé sans y entrer, juste assez pour la faire frissonner. Inès répondit en glissant une main sous la robe de Valérie, caressant ses fesses, puis remontant pour presser ses seins, leurs gémissements se mêlant dans la bouche de l’autre.

Malik et Laurent, déjà durs comme du béton, regardaient la scène, pétrifiés d’excitation. Voir leurs femmes – ou du moins, celle qu’ils considéraient comme telle pour la nuit – se toucher, s’embrasser, se chauffer avec une sensualité brute, était un spectacle qu’ils n’avaient jamais imaginé. Leurs sexes palpitaient, leurs respirations saccadées, mais ils restaient immobiles, savourant chaque seconde de ce show improvisé et totalement inattendu.

Inès guida Valérie jusqu’au lit, la fit s’allonger sur le dos, puis commenca à la lécher, parcourant son sexe, glissant sur son clitoris avec délicatesse.

De leur côté, Malik et Laurent restèrent debout, côte à côte, les yeux rivés sur leurs deux femmes qui se dévoraient avec une passion qu’ils n’avaient jamais vue chez elles. Le spectacle était hypnotique : Valérie, demande à Inés de se mettre à califourchon sur son visage, ondulait lentement, ses hanches roulant tandis que la langue de Valérie explorait son sexe.. Inès gémissait sans retenue, ses mains malaxant ses propres seins, pinçant ses tétons, offrant un tableau vivant de plaisir pur.

Malik, la bite tendue à bloc, s’approcha d’Inès, ses mains caressant ses hanches, puis ses seins, tandis qu’il murmurait à son oreille des mots crus qui la faisaient frissonner encore plus. Laurent, à son tour, s’avança vers Valérie, ses doigts glissant entre ses cuisses écartées, caressant son sexe trempé, effleurant son clitoris pendant qu’elle léchait Inès avec une avidité impressionnante. Les deux hommes, excités au-delà des mots, se contentaient de leurs femmes respectives, leurs caresses précises et possessives amplifiant le plaisir des deux femmes qui se touchaient encore, leurs mains se cherchant parfois, leurs gémissements se mêlant.

Valérie, sentant Laurent dur comme jamais contre sa joue, tourna la tête et prit son sexe en bouche avec une gourmandise dévorante. Elle le suça profondément, sa langue dansant sur la hampe, ses lèvres serrées autour de lui, tandis qu’Inès, toujours au-dessus d’elle, se pencha pour que Malik la lèche. Malik plongea sa langue dans le sexe d’Inès, léchant son clitoris avec une lenteur experte, ses mains écartant ses fesses pour mieux exposer le plug et son intimité dégoulinante.

Inès, au bord de l’explosion, se pencha vers Valérie, toujours en train de sucer Laurent avec une avidité folle. Elle l’embrassa passionnément, leurs langues se mêlant, le goût de son propre sexe sur les lèvres de Valérie. « Je peux t’aider ? » murmura-t-elle, ses yeux brillant de désir. Valérie, un sourire complice, hocha la tête. Inès descendit lentement, ses lèvres rejoignant celles de Valérie sur le sexe de Laurent. Elles le sucèrent ensemble, leurs langues se croisant parfois sur le gland, leurs bouches alternant entre succions profondes et léchages lents, leurs mains se frôlant sur la hampe. Laurent, aux anges, grogna bruyamment, ses mains dans leurs cheveux, incapable de croire à ce qu’il vivait.

Valérie, dans un regard complice avec Laurent, tendit la main vers Malik, toujours en train de lécher Inès avec une avidité animale. Elle attrapa son sexe dur, le branlant lentement, ses doigts glissant sur sa longueur tandis qu’Inès gémissait sous la langue de son homme. Malik, excité par la caresse inattendue, accéléra ses léchages, faisant hurler Inès.

Dans un élan de désir brut, Malik se redressa, positionnant Inès à quatre pattes sur le lit. Il se plaça derrière elle, son sexe dur pressant contre son vagin trempé. Mais avant de la pénétrer, Valérie, toujours à genoux, se pencha et prit le sexe de Malik en bouche, le suçant profondément, sa langue dansant sur le gland, le lubrifiant de sa salive. Puis, d’un geste assuré, elle guida la bite de Malik dans le vagin d’Inès, l’insérant lentement, regardant avec fascination son sexe disparaître en elle. Inès hurla de plaisir, son corps se cambrant.

À côté, Valérie et Laurent, emportés par la scène, s’unirent à leur tour. Laurent la prit en levrette, ses mains sur ses hanches, ses coups de reins profonds et réguliers, ses yeux rivés sur Inès et Malik qui baisaient à côté d’eux. Valérie, excitée par le spectacle, criait à chaque poussée, ses seins rebondissant, son sexe pulsant autour de Laurent.

Les deux couples, côte à côte, baisaient avec une intensité débridée, leurs gémissements se mêlant, leurs corps se frôlant parfois. Inès, submergée, jouit la première, son corps convulsant, son vagin pulsant autour de Malik. Valérie, excitée par ses cris, jouit à son tour, son sexe serrant Laurent comme un étau. Les deux hommes, au bord de l’explosion, continuèrent, leurs coups de reins synchronisés, jusqu’à ce qu’ils jouissent presque en même temps, remplissant leurs femmes de leur sperme chaud.