Valérie et Laurent : -5- Le jeu dangereux en public

Le week-end chez Laurent avait laissé des traces brûlantes dans leur mémoire : des nuits entières à explorer chaque centimètre de peau, des orgasmes qui résonnaient encore dans leurs corps comme des échos. Depuis, leurs messages avaient pris une tournure encore plus crue, plus urgente. Valérie, désormais totalement libérée, avait décidé de pousser le jeu plus loin. Elle voulait voir jusqu’où Laurent pouvait tenir quand il n’avait pas le droit de la toucher.

Un samedi après-midi, elle lui envoya un simple texto :
« Rendez-vous à 18h au Café de Flore. Robe noire courte. Tu vas adorer. »

Laurent arriva en premier, s’installa en terrasse, le cœur déjà battant. Quand Valérie apparut, il manqua de renverser son café. Sa robe noire, courte et cintrée, moulait ses formes généreuses, le décolleté plongeant offrant une vue vertigineuse sur ses seins. Mais ce qui le frappa surtout, ce fut sa démarche : légèrement chaloupée, comme si chaque pas lui coûtait un effort délicieux. Elle s’assit en face de lui, croisa les jambes avec une lenteur calculée, et posa son sac à main sur la table, un sourire malicieux aux lèvres.

« Tu es magnifique », murmura-t-il, la voix rauque.
« Attends de savoir ce que je porte… ou plutôt, ce que je ne porte pas », répondit-elle en se penchant légèrement vers lui.

Elle écarta imperceptiblement les cuisses sous la table, juste assez pour qu’il aperçoive l’ombre entre ses jambes. Aucune culotte. Laurent sentit son sexe durcir instantanément dans son jean. Valérie, savourant son trouble, glissa discrètement une main sous la table, remonta légèrement sa robe et tourna lentement son bassin. À l’arrière, scintillant sous la lumière du soleil couchant, un bijou rose dépassait entre ses fesses : un plug anal orné d’un diamant. Elle le portait en public. Pour lui.

« Tu es sérieuse ? » souffla-t-il, les yeux écarquillés.
« Complètement », répondit-elle en mordillant sa lèvre. « À chaque pas, je le sens. Il me remplit. Et je suis trempée rien qu’à l’idée que tu saches. »

Laurent serra son verre si fort que ses phalanges blanchirent. Autour d’eux, les Parisiens discutaient, riaient, buvaient leur café, totalement inconscients du jeu pervers qui se jouait à un mètre. Valérie, excitée par son impuissance, continua de le torturer. Elle croisa et décroisa les jambes plusieurs fois, juste pour l’exciter, ses yeux plantés dans les siens.

« J’ai passé commande hier soir », murmura-t-elle enfin, sa voix à peine audible. « Un coffret complet. Vibromasseurs, plugs de toutes les tailles, menottes, huile de massage… Tout ce qu’il faut pour que tu me fasses hurler pendant des heures. Ils sont arrivés ce matin. »

Laurent déglutit, son sexe désormais douloureusement dur contre son jean.
« Tu vas me tuer », grogna-t-il entre ses dents.
Valérie sourit, se pencha légèrement en avant, ses seins pressés contre la table.
« Peut-être. Mais avant, tu vas rentrer avec moi. Et tu vas me baiser avec ce plug encore en place. Juste pour me rappeler qui commande vraiment. »

Elle se leva lentement, sa robe remontant juste assez pour qu’il aperçoive à nouveau le bijou scintillant entre ses fesses. Elle lui tendit la main, un éclat provocant dans les yeux.

« Tu viens ? »

 

Le trajet jusqu’à l’appartement de Valérie fut une torture délicieuse. À pied dans les rues bondées du quartier latin, elle marchait devant lui d’un pas lent, presque provocant, chaque mouvement faisant scintiller le bijou rose du plug entre ses fesses. Laurent, à deux mètres derrière, sentait son sexe dur comme jamais, incapable de détacher son regard de cette femme qui jouait avec lui en pleine rue. De temps en temps, elle se retournait, un sourire carnassier aux lèvres, et murmurait : « Ça va derrière ? Tu tiens le coup ? » Il grognait en réponse, ses mains dans les poches pour cacher la bosse évidente de son jean.

À peine la porte de l’appartement refermée, Valérie se jeta sur lui, l’embrassant avec une faim vorace, sa langue cherchant la sienne comme si elle voulait le dévorer. Laurent la plaqua contre le mur, relevant sa robe d’un geste brutal. Le plug rose était toujours là, bien en place, et il le fit tourner légèrement entre ses doigts, arrachant un gémissement rauque à Valérie.

« Attends », souffla-t-elle, les yeux brillants. Elle attrapa son sac, en sortit un grand coffret noir qu’elle posa sur la table basse. « Livré ce matin. Je n’ai même pas eu le temps de l’ouvrir devant toi. »

Elle souleva le couvercle. À l’intérieur : un vibromasseur long et courbé, un autre plus épais avec des billes rotatives, un plug en métal froid, des menottes en cuir souple, une huile de massage chauffante, un fouet à lanières courtes, et surtout… un double gode souple de trente centimètres, noir et luisant.

Valérie prit le double gode dans ses mains, le fit onduler avec un sourire diabolique. « Tu sais où je veux celui-là », murmura-t-elle en le posant contre ses lèvres, puis en le glissant lentement entre ses seins. Laurent, déjà à bout, arracha sa chemise. « Tu vas me tuer », grogna-t-il.

Elle le poussa vers le canapé, le fit asseoir, et s’installa à califourchon sur lui, toujours avec le plug en place. « D’abord, tu vas me regarder », dit-elle en prenant le vibromasseur courbé. Elle l’alluma, le posa sur son clitoris à travers la robe relevée, et ferma les yeux en gémissant. Laurent, la bite tendue à bloc, la regardait se caresser, le bourdonnement du jouet résonnant dans la pièce. Valérie accéléra, ses hanches ondulant, ses seins débordant de sa robe.

Puis elle se leva, se tourna, et lentement, très lentement, écarta ses fesses, Laurent n’en pouvait plus. Elle retira le plug rose doucement ouvrant et refermant son anus, Laurent se mordit les lèvres devant ce spectacle.
Valérie, les mains écartant ses fesses, révelait son anus, légèrement ouvert, qui brillait sous la lumière. Elle prit le plug en métal froid, le lubrifia abondamment, et l’inséra en elle d’un geste assuré, poussant un long gémissement quand la base toucha sa peau. « Regarde comme je suis prête pour toi », souffla-t-elle en écartant ses fesses, le bijou métallique scintillant entre ses globes.

Laurent n’en pouvait plus. Il se leva, baissa son jean, enfila un préservatif en une seconde, et la plaqua contre le dossier du canapé. Il entra en elle d’un coup, son sexe glissant dans son vagin trempé, le plug en métal augmentant la pression à chaque poussée.

Valérie hurla de plaisir, un cri rauque et profond qui résonna dans tout le loft, ses mains agrippant le dossier du canapé si fort que ses jointures blanchirent. Ses gros seins, libres et lourds, rebondissaient à chaque coup de reins de Laurent, claquant doucement contre son ventre, leurs tétons durcis traçant des arcs hypnotiques dans l’air. La sensation du plug métallique encore en place dans son anus, froid et implacable, frottait contre le sexe de Laurent à travers la fine paroi qui les séparait, créant une pression double, presque insoutenable, qui la faisait trembler de la tête aux pieds.

Laurent, les yeux rivés sur ce spectacle, prit son temps d’abord. Il se retira presque entièrement, ne laissant que son gland à l’entrée de son vagin trempé, savourant la façon dont ses lèvres intimes se contractaient autour de lui, comme pour le supplier de revenir. Puis, d’un mouvement lent, presque cruel, il replongea en elle jusqu’à la garde, son bassin venant claquer contre ses fesses rondes, le plug vibrant légèrement à chaque impact. Valérie gémit plus fort, ses hanches poussant en arrière pour l’accueillir plus profondément, son sexe ruisselant de jus qui coulaient le long de ses cuisses et gouttaient sur le canapé.

Il accéléra progressivement, ses coups devenant plus forts, plus profonds, chaque poussée cognant contre le plug, envoyant des ondes de plaisir brûlant à travers son anus et son vagin en même temps. Le bruit de leurs corps se heurtant – peau contre peau, humide et brutal – emplissait la pièce, mêlé aux gémissements de Valérie qui perdaient toute retenue. « Oui… putain, comme ça… je te sens partout », haleta-t-elle, sa voix brisée, ses seins se balançant follement, ses tétons frottant contre le tissu du dossier à chaque impact.

Laurent, sentant le plug pressé contre lui à chaque va-et-vient, grogna de plaisir, ses mains agrippant ses hanches pour la maintenir en place tandis qu’il la pilonnait avec une intensité croissante. Il alternait : une série de coups lents et profonds qui la faisaient supplier, puis des rafales rapides et brutales qui la faisaient hurler, son corps entier vibrant sous l’assaut, ses gros seins claquant contre elle-même, son sexe pulsant autour de lui comme s’il voulait le retenir pour toujours. La sensation du plug, froid et rigide, contre son sexe chaud et vivant, était une torture exquise qui les poussait tous les deux au bord de l’explosion.

« Je veux le double », haleta-t-elle soudain, sa voix rauque et tremblante, presque un ordre, presque une supplication. Ses yeux brillaient d’une lueur sauvage, ses lèvres entrouvertes, encore gonflées de leurs baisers précédents, laissaient échapper des souffles brûlants. Laurent, le cœur cognant dans sa poitrine, sentit son sexe durcir encore plus à cette demande, comme si c’était possible. Excité au-delà des mots, il attrapa le long gode souple sur la table, ce jouet noir et flexible de trente centimètres qui semblait fait pour eux, pour ce moment précis.

Valérie s’allongea sur le dos avec une lenteur calculée, ses jambes relevées et écartées, offrant son corps comme une toile vivante. Le plug métallique scintillait toujours entre ses fesses rondes, son anus dilaté palpitant légèrement à l’air libre. Elle posa ses talons sur les épaules de Laurent, ses cuisses tremblantes d’anticipation, ses gros seins se soulevant à chaque respiration saccadée, les tétons dressés comme des invitations.

Laurent, les mains tremblantes d’excitation, versa une généreuse quantité de lubrifiant sur les deux extrémités du gode, le faisant briller sous la lumière des chandelles. Il commença par l’extrémité la plus fine, la pressant contre l’anus déjà ouvert de Valérie. Elle gémit profondément quand le jouet glissa en elle, centimètre par centimètre, le plug métallique étant doucement expulsé pour faire place au gode plus long, plus souple. Il le poussa lentement, très lentement, sentant la résistance céder, son anus s’ouvrant autour du silicone avec une avidité obscène. Valérie, les yeux mi-clos, haletait : « Oui… plus… remplis-moi… »

Quand la première moitié fut bien enfoncée dans son cul, Laurent positionna l’autre extrémité contre son vagin trempé, déjà béant d’excitation. Il la pénétra d’un mouvement fluide, le gode s’enfonçant dans ses deux trous en même temps, la remplissant complètement, la faisant hurler de plaisir pur. Le jouet était si long qu’il les reliait presque, Laurent tenant le milieu comme une poignée, ses mains contrôlant le rythme. Il commença à bouger, d’abord lentement, faisant glisser le gode dans et hors de ses deux ouvertures, chaque va-et-vient faisant claquer ses fesses contre ses cuisses, ses jus coulant abondamment sur le canapé.

Valérie, submergée, agrippa ses propres seins, les malaxant avec force, pinçant ses tétons entre ses doigts, ses gros seins se soulevant à chaque respiration haletante, rebondissant à chaque poussée du gode. Ses gémissements devinrent des cris, puis des hurlements, son corps entier tremblant sous l’assaut double. Laurent accéléra, ses mains faisant aller et venir le jouet avec une précision diabolique, le faisant tourner légèrement à chaque entrée pour stimuler de nouvelles zones. Le bruit humide de son sexe et de son anus remplis, le claquement de sa peau, ses cris rauques emplissaient la pièce.

« Je te sens partout… je suis tellement pleine… » gémit-elle, ses hanches se soulevant pour accompagner le rythme, son clitoris frottant contre la base du gode à chaque poussée. Ses gros seins étaient rouges d’avoir été malaxés, ses tétons hypersensibles, et elle jouit violemment, son corps convulsant, son vagin et son anus pulsant autour du jouet, ses jus giclant légèrement à chaque contraction, trempant les cuisses de Laurent. Il continua, prolongeant son orgasme, ses mouvements plus lents, plus profonds, jusqu’à ce qu’elle s’effondre, tremblante, suppliante : « Arrête… je n’en peux plus… ou continue, je ne sais plus… »

Valérie, au bord de l’explosion, les yeux brillants de larmes de plaisir, cria d’une voix rauque et brisée : « Prends-moi avec ! Maintenant ! »

Laurent, le cœur cognant à tout rompre, comprit immédiatement. Il retira le gode d’un geste lent et fluide, le jouet sortant de son vagin avec un bruit humide et obscène qui le fit durcir encore plus, l’autre côté du gode glissant hors de son anus dilaté avec un léger, laissant son trou béant, palpitant, luisant de lubrifiant et de ses propres jus. Valérie haletait, ses gros seins se soulevant à chaque respiration, ses cuisses tremblantes d’anticipation.

Valérie, toujours sur le dos , attendait la bite de Laurent, de son sexe raide et gainé du préservatif. Il posa son gland contre l’entrée encore ouverte de son anus, le pressant doucement, savourant la chaleur et la souplesse de son trou qui s’ouvrait pour lui comme une fleur. Valérie gémit, poussant en arrière, impatiente. D’un mouvement lent et assuré, il s’enfonça en elle, centimètre par centimètre, jusqu’à la garde, son sexe épais la remplissant complètement. La sensation était indescriptible : son anus serré, encore dilaté par le plug et le gode, l’enserrait comme un étau brûlant, chaque veine de sa bite frottant contre ses parois internes.

Il reprit le long gode souple et le glissa de nouveau dans son vagin trempé, la remplissant doublement, le jouet et son sexe séparés seulement par la fine cloison qui vibrait à chaque mouvement. Valérie hurla, un cri primal qui résonna dans tout l’appartement, son corps se cambrant violemment. Laurent commença ses va-et-vient, puissants et réguliers, le gode dans son vagin et sa bite dans son cul bougeant en rythme parfait, chaque poussée la faisant trembler de la tête aux pieds. Ses gros seins rebondissaient à chaque coup de reins, ses fesses claquant contre son bassin, le bruit humide et charnel emplissant la pièce.

« Je te sens partout… je suis tellement pleine… » gémit-elle, sa voix brisée, ses mains agrippant les draps si fort que ses jointures blanchirent. Laurent accéléra, ses hanches claquant contre ses fesses, son sexe cognant profondément dans son anus, le gode glissant en synchronisation dans son vagin. Il attrapa ses hanches, la tirant violemment vers lui à chaque poussée, la double pénétration la rendant folle. Valérie, submergée, sentit un orgasme monter, plus profond, plus violent que tous les précédents.

Elle jouit violemment, son corps convulsant comme si elle était électrocutée, son anus pulsant autour de la bite de Laurent, son vagin se contractant autour du gode, ses jus giclant abondamment sur le jouet et les cuisses de Laurent. Ses cris résonnèrent dans l’appartement, un hurlement continu de plaisir pur, son corps secoué de spasmes, ses gros seins tremblant à chaque contraction.

Laurent, excité au-delà des mots par ses cris et la sensation de son anus qui le serrait comme jamais, continua encore quelques coups de reins brutaux avant de jouir à son tour, profondément enfoui dans son cul, des jets chauds et puissants le remplissant à travers le préservatif, prolongeant l’orgasme de Valérie jusqu’à ce qu’elle s’effondre, tremblante, à bout de souffle.

Ils restèrent ainsi un long moment, enlacés, leurs corps luisants de sueur, le gode encore en elle, le plug métallique oublié sur les draps. Valérie, la voix faible mais satisfaite, murmura enfin : « Tu m’as détruite… et j’adore ça. » Laurent, encore enfoui en elle, l’embrassa dans le cou. « Et ce n’est que le début du coffret », répondit-il, un sourire carnassier aux lèvres.

Cette nuit-là, dans la chaleur de leur passion, ils s’endormirent enfin, sachant que le lendemain apporterait de nouveaux jeux, de nouveaux jouets, et encore plus de plaisir.