Valérie et Laurent : -6- Domination par Valérie

Depuis des semaines, Valérie et Laurent se voyaient presque tous les jours, leurs corps ne se lassant jamais l’un de l’autre. Leurs nuits étaient des feux d’artifice de plaisir : jouets, jeux de rôle, mots crus, rien ne les arrêtait. Un soir, alors qu’ils étaient allongés nus, encore essoufflés après une étreinte brutale, Valérie, la tête posée sur le torse de Laurent, murmura :
« J’ai envie de te sentir… vraiment. Sans rien entre nous. »
Laurent releva la tête, surpris.
« Tu veux dire… sans préservatif ? »
Elle hocha la tête, ses yeux brillant d’un désir profond.
« Je prends la pilule,  on a fait les tests, je suis clean, et toi aussi. J’ai envie de sentir ton sperme me remplir, chaud, jusqu’au fond. C’est mon fantasme depuis longtemps. »
Laurent, le sexe déjà dur rien qu’à l’idée, répondit d’une voix rauque :
« Si tu le veux… je suis prêt. »

Le week-end suivant, Valérie avait tout préparé. Elle avait reçu un nouveau coffret de jouets : un vibromasseur à succion clitoridienne, un fouet à lanières souples, des menottes en cuir rembourrées, un bandeau en satin noir, et une huile de massage chauffante. Elle voulait inverser les rôles : ce soir, c’était elle qui commanderait.

Quand Laurent arriva, elle l’accueillit en lingerie rouge transparente, ses gros seins débordant du balconnet, ses tétons visibles à travers la dentelle. Elle l’embrassa passionnément, puis recula d’un pas, un sourire autoritaire aux lèvres.
« Ce soir, c’est moi qui décide. Tu vas obéir. »
Laurent, excité par son ton, hocha la tête.
« À tes ordres. »

Elle le guida jusqu’à la chambre, où les chandelles projetaient une lumière rougeoyante. Elle le fit se déshabiller lentement, admirant son corps musclé, son sexe déjà dur. Puis elle lui attacha les poignets aux montants du lit avec les menottes en cuir, serrées juste assez pour qu’il sente sa soumission. Elle noua le bandeau en satin noir sur ses yeux, le plongeant dans l’obscurité.
« Tu ne verras rien. Tu ne sentiras que moi », murmura-t-elle, sa voix grave et dominante.

Valérie versa l’huile chauffante sur ses mains, les frottant pour activer la chaleur, puis les posa sur le torse de Laurent. Elle massa lentement, descendant vers son ventre, ses doigts effleurant son sexe sans le toucher, le faisant frissonner. Elle prit le vibromasseur à succion, l’alluma à faible intensité et le posa sur ses tétons, le faisant gémir. Puis elle descendit, le glissant sur ses couilles, puis sur son gland, la succion légère le rendant fou.

Elle grimpa sur lui, à califourchon, son sexe trempé frottant contre sa bite sans la pénétrer. « Tu veux me sentir sans rien ? » murmura-t-elle. Laurent, attaché et aveuglé, haleta : « Oui… s’il te plaît… » Valérie, excitée par son obéissance, descendit lentement, son vagin chaud et serré engloutissant son sexe nu pour la première fois. La sensation était brutale : sa chaleur, sa moiteur, sans aucune barrière. Laurent grogna, ses hanches se soulevant instinctivement.

Valérie le chevaucha lentement, savourant chaque centimètre, ses mains caressant ses propres seins, pinçant ses tétons pour amplifier son plaisir. Elle accéléra, ses hanches claquant contre les siennes, ses gros seins rebondissant à chaque mouvement. Elle prit le vibromasseur à succion et le posa sur son clitoris, la sensation la faisant hurler. Laurent, attaché, ne pouvait que subir, son sexe pulsant en elle, la sensation de sa chaleur nue le rendant fou.

Elle se pencha, léchant son cou, mordillant son oreille, puis se redressa et glissa un doigt lubrifié sur l’anus de Laurent, le massant très doucement avant de l’insérer lentement. Laurent gémit, son corps se cambrant dans les liens.

« Tu aimes dit-elle ? Laurent émis un grognement et acquiesca.

Valérie, dominante, accéléra ses mouvements, son vagin serrant le sexe de Laurent comme un étau brûlant, le vibromasseur toujours collé à son clitoris, la faisant trembler de plaisir. Mais elle voulait plus. Elle voulait le pousser au bord du gouffre, le faire supplier.

Elle posa le vibromasseur sur le drap, encore bourdonnant, et se redressa lentement, son corps luisant de sueur.

« Fais-moi confiance », murmura-t-elle d’une voix basse, presque un ordre.

Laurent, encore haletant, obéit sans un mot. Il se mit à quatre pattes sur le lit, son sexe dur pendant sous lui, son corps offert. Valérie se plaça derrière lui, ses mains caressant ses fesses fermes, les écartant doucement. Elle se pencha, sa langue chaude et humide trouvant son anus sans hésiter. Elle lécha lentement, d’abord autour, puis plus profondément, sa langue entrant et sortant, explorant ses plis sensibles avec une précision diabolique. Laurent gémit bruyamment, son corps se tendant, son sexe tressautant à chaque coup de langue.

D’une main, elle attrapa sa bite raide, la branlant avec une lenteur torturante, synchronisée avec sa langue qui fouillait son cul. Laurent tremblait, ses bras faiblissant sous lui, ses gémissements devenant des plaintes rauques. « Valérie… putain… » haleta-t-il, complètement à sa merci.

Elle glissa alors sous lui, comme une ombre, son corps se faufilant entre ses jambes. Allongée sur le dos, la tête entre ses cuisses, elle prit son sexe en bouche d’un seul mouvement, l’avalant profondément. Une main guidait sa bite dans sa gorge, l’autre, par-dessous, glissa deux doigts lubrifiés dans son anus, les enfonçant jusqu’à trouver sa prostate. Elle massa fermement, en cercles précis, tout en suçant avec une voracité animale, sa langue dansant sur la hampe, ses lèvres serrées autour de lui.

Laurent, submergé, n’était plus qu’un corps tremblant. Ses hanches poussaient instinctivement dans sa bouche, mais Valérie contrôlait tout : la profondeur, le rythme, la pression sur sa prostate. Elle sentait son sexe gonfler, ses couilles se contracter. « Vas-y, jouis pour moi », murmura-t-elle entre deux succions, sa voix vibrante contre son gland.

Il ne tint plus. Avec un cri rauque, il explosa dans sa bouche, des jets chauds et abondants inondant sa gorge. Valérie avala tout, sa langue lapant chaque goutte, ses doigts continuant de masser sa prostate pour prolonger son orgasme jusqu’à ce qu’il s’effondre, tremblant, à bout de souffle.

Valérie retira lentement le bandeau de satin noir de ses yeux. Laurent cligna des paupières, encore sonné par l’explosion de plaisir, son sexe commençant à ramollir entre ses cuisses. Elle le laissa attaché, les poignets toujours fixés aux montants du lit, mais le fit s’asseoir, dos contre la tête de lit, son corps offert et vulnérable.

Elle se plaça devant lui, à genoux sur le matelas, les cuisses écartées juste assez pour qu’il voie tout. Ses yeux encore humides de larmes de plaisir le fixaient avec une autorité brûlante. Lentement, elle porta ses doigts à sa bouche, les lécha un à un, goûtant le mélange de leurs jus, puis descendit sa main entre ses jambes. Elle écarta ses lèvres intimes trempées, révélant son sexe rose et luisant, et se caressa lentement, ses doigts glissant sur son clitoris gonflé, entrant et sortant de son vagin avec un bruit humide et obscène.

« Regarde-moi », murmura-t-elle d’une voix rauque, en prenant ses gros seins à deux mains. Elle les pressa l’un contre l’autre, les souleva, puis pencha la tête pour lécher un téton, puis l’autre, sa langue traçant des cercles autour de ses aréoles, ses yeux plantés dans ceux de Laurent. Il déglutit, son sexe déjà en train de se réveiller malgré l’orgasme précédent.

Valérie se tourna alors, lui offrant son dos, ses fesses rondes et généreuses juste devant son visage. Elle se cambra, écartant ses fesses avec ses deux mains, exposant son sexe dégoulinant et son anus rose encore légèrement ouvert. « Tu aimes ce que tu vois ? » souffla-t-elle en glissant un doigt dans son anus, l’enfonçant lentement, le faisant tourner à l’intérieur. « Tu veux me baiser là ? Tu veux mettre ta bite dans mon cul serré ? »

Laurent gémit, son sexe durcissant à vue d’œil, la vision de son anus qui s’ouvrait et se refermait autour de son doigt le rendant fou. Valérie, sentant son excitation, continua, glissant deux doigts dans son vagin tout en gardant l’autre dans son cul, ses mouvements lents et provocants. « Regarde comme je suis prête pour toi… mon cul te réclame… »

Elle se recula encore, collant ses fesses contre le visage de Laurent, toujours attaché. « Lèche-moi. Partout. »

Laurent, incapable de résister, plongea sa langue dans son sexe, puis remonta jusqu’à son anus, léchant avidement, sa langue entrant profondément dans son trou encore détendu. Valérie écarta ses fesses plus largement, poussant contre sa bouche, ses gémissements résonnant dans la pièce. Il lécha son clitoris, son vagin, son anus, buvant ses jus qui coulaient sur son menton, son nez enfoui entre ses fesses.

Quand elle sentit son sexe complètement dur contre sa cuisse, elle se recula juste assez, toujours dos à lui, et guida sa bite raide dans son vagin trempé d’un seul mouvement fluide. Elle s’empala lentement, puis commença des va-et-vient puissants, son cul rebondissant contre son bassin, offrant à Laurent une vue imprenable : son anus rose qui s’ouvrait à chaque mouvement, son sexe qui entrait et sortait de son vagin dégoulinant, ses fesses claquant contre lui. Il voyait tout, chaque détail, chaque contraction, chaque goutte de plaisir.

Valérie, dominante et insatiable, accéléra, ses hanches roulant avec une précision diabolique, ses cris devenant plus forts à chaque poussée. Laurent, attaché et offert, ne pouvait que subir, son sexe pulsant en elle, au bord de l’explosion une nouvelle fois.

Valérie, sentant Laurent au bord de l’explosion, ralentit un instant ses va-et-vient, son vagin toujours serré autour de lui. Elle se pencha légèrement en avant, attrapa le flacon de lubrifiant sur la table de chevet d’une main tremblante d’excitation. Elle versa une généreuse quantité sur ses doigts, puis, sans cesser de bouger doucement sur lui, porta sa main derrière elle. Ses doigts glissèrent sur son anus déjà humide, le massant lentement, d’abord autour, puis entrant et sortant avec une lenteur calculée, dedans et dehors, dedans et dehors, lubrifiant chaque pli, chaque repli, jusqu’à ce que son trou soit parfaitement prêt, palpitant et ouvert.

Elle accéléra légèrement ses mouvements sur la bite de Laurent, juste assez pour le maintenir au bord du gouffre, tout en continuant de se doigter l’anus avec une précision experte. Ses gémissements devinrent plus rauques, plus profonds. « Je suis prête… je te veux là », souffla-t-elle, sa voix brisée par le désir.

D’un geste assuré, elle se souleva, libérant le sexe de Laurent de son vagin avec un bruit humide, puis, toujours dos à lui, attrapa sa bite raide et la guida droit contre son anus béant. Elle s’abaissa lentement, centimètre par centimètre, le gland forçant l’entrée, puis le reste, jusqu’à ce qu’elle soit complètement empalée, son cul avalant sa bite entière. Elle hurla de plaisir pur, la sensation de plénitude la faisant trembler de la tête aux pieds.

Elle recommença à bouger, plus lentement d’abord, savourant chaque sensation : la brûlure délicieuse, la pression parfaite, son anus serré autour de lui. Sa main libre glissa entre ses cuisses, ses doigts trouvant son clitoris gonflé, le caressant frénétiquement en cercles rapides. Ses gros seins rebondissaient à chaque descente, ses fesses claquant contre le bassin de Laurent, le bruit résonnant dans la pièce.

« Baise-moi le cul… remplis-moi », supplia-t-elle, accélérant le rythme, ses mouvements devenant plus sauvages, plus brutaux. Laurent, attaché mais incapable de se retenir, poussa des hanches en avant à chaque fois qu’elle descendait, s’enfonçant encore plus profondément. Valérie, submergée, cria : « Je jouis… oh putain, je jouis par le cul ! » Son corps convulsa violemment, son anus pulsant autour de lui, son clitoris explosant sous ses doigts, ses jus coulant le long de ses cuisses.

La contraction de son anus autour de sa bite fut trop forte. Laurent, avec un grognement primal, jouit à son tour, profondément enfoui dans son cul, des jets chauds et abondants le remplissant, pulsant contre ses parois internes. Valérie, sentant chaque giclée, hurla à nouveau, son orgasme se prolongeant, son corps tremblant de plaisir absolu.

Elle resta ainsi un long moment, empalée sur lui, son cul encore serré autour de sa bite qui ramollissait doucement, le sperme de Laurent coulant lentement hors de son anus dilaté. Puis elle se retira avec un gémissement, se tourna vers lui, et l’embrassa passionnément, leurs langues se mêlant, le goût de leur plaisir partagé sur leurs lèvres.

Cette nuit-là, ils s’endormirent enlacés, leurs corps encore frémissants, sachant que le lendemain apporterait de nouvelles envies, de nouveaux jeux, et encore plus de feu.